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 Empêcher les métastases : on s'approche.

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Denis
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MessageSujet: Re: Empêcher les métastases : on s'approche.   Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 Icon_minitimeSam 5 Déc 2015 - 22:47

Spreading cancer cells arriving in a new part of the body must be able to change their new environment to continue to grow, according to a study by Cancer Research UK scientists at the Francis Crick Institute, published in Cell Reports.

The team found that the faster their surroundings change, the faster the cancer cells will grow.

A cancer cell that has spread to another part of the body needs help from the tissue that surrounds it to become established and form a new tumour. When a cell has the environment it needs, it will start to grow.

The researchers showed in mice that cancer cells that are able to spread easily produce a protein called THSB2 which helps them to make their new environment more welcoming -- allowing tumours to grow. THSB2 does this by activating cells called fibroblasts, which normally help to build tissue in the body but can also support cancer growth.

Lead investigator Dr Ilaria Malanchi, Cancer Research UK scientist and group leader at The Francis Crick Institute, said: "If we can find a way to block the ability of a cancer cell to adapt to a new environment then this could slow down the growth of cancer to other parts of the body.

"The more THSB2 protein the cell produces, the faster the new tissue environment will change to give the best conditions for cancer growth.

"This is an exciting first step and what we need now is to find drugs that could stop cancer cells producing this protein and see if this reduces their ability to spread to new part of the body."

Professor Nic Jones, Cancer Research UK's chief scientist, said: "One of the biggest challenges in successfully treating cancer is stopping it from spreading to other parts of the body. It's a complicated process and research like this brings us a small step closer to understanding how we might stop it from happening and so save more lives."

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Les cellules cancéreuses qui arrivent dans une nouvelle partie du corps doivent être en mesure de changer leur nouvel environnement pour continuer à croître, selon une étude réalisée par Cancer Research UK scientifiques de l'Institut de Francis Crick, publiés dans Cell Reports.

L'équipe a constaté que le plus rapidement de leur environnement changent, plus les cellules cancéreuses vont grandir.

Une cellule de cancer qui est propagé à une autre partie du corps a besoin de l'aide du tissu qui l'entoure pour s'établir et former une nouvelle tumeur. Quand une cellule a l'environnement dont il a besoin, il va commencer à croître.

Les chercheurs ont montré chez la souris que les cellules cancéreuses qui sont capables de se propager produisent facilement une protéine appelée THSB2 qui les aide à faire leur nouvel environnement plus accueillant - permettant aux tumeurs de croître. THSB2 le fait en activant les cellules appelées fibroblastes qui aident à construire le tissu normalement dans le corps, mais peut aussi soutenir la croissance du cancer.

Le chercheur principal, le Dr Ilaria Malanchi, Cancer Research UK scientifique et chef de groupe à l'Institut Francis Crick, a déclaré: "Si nous pouvons trouver un moyen de bloquer la capacité d'une cellule cancéreuse d'adaptation à un nouvel environnement, cela pourrait ralentir la croissance de la cancer à d'autres parties du corps.

"Le plus de protéines THSB2 que la cellule produit, plus le nouvel environnement de tissu va changer de donner les meilleures conditions pour la croissance du cancer.

"Ceci est une première étape excitante et ce que nous avons besoin maintenant est de trouver des médicaments qui pourraient empêcher les cellules cancéreuses produisant cette protéine et voir si cela réduit leur capacité de se propager à nouveau partie du corps."

Professeur Nic Jones, scientifique en chef de Cancer Research UK, a déclaré: "Un des plus grands défis dans le traitement efficace du cancer est d'arrêter de se propager à d'autres parties du corps, c'est un processus compliqué et une recherche comme celle-ci nous apporte un petit pas de plus vers la compréhension de comment nous pourrions arrêter la propagation de se produire et ainsi de sauver plus de vies. "
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MessageSujet: Re: Empêcher les métastases : on s'approche.   Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 Icon_minitimeMar 9 Juin 2015 - 19:14

Scientists have discovered a trigger that allows breast cancer cells to spread to the lungs.


They have found that blocking the signals in mice with breast cancer greatly reduces the number of secondary tumours found in the lungs.

The findings could lead to new therapies that stop the progression of breast cancer, the researchers at the University of Edinburgh say.

The majority of deaths from breast cancer are caused by the tumour spreading to other parts of the body. The lung is often one of the first organs to be affected.

Researchers at the University's MRC Centre for Reproductive Health investigated the role that immune cells called macrophages play in helping cells from the original tumour to spread.

Their previous research has shown that breast cancer cells need the support of macrophages to invade the lungs and set up secondary tumours.

The team has discovered that macrophages require signalling molecules called chemokines to communicate with breast cancer cells.

When they blocked these signals in mice, they found that the number of secondary tumours in the lungs was reduced by up to two thirds.

Blocking the signals helped to stop the cancer cells from getting into the lungs from the blood stream. It also hindered those that did get into the lungs from establishing themselves and forming new tumours.

Human cells seem to use the same chemokine signals to communicate with each other. The researchers hope their findings may one day translate into new treatments to stop breast cancer from spreading.

The results suggest that targeting a chemokine receptor signalling molecule called CCR1 may result in fewer unwanted side effects for patients while stopping the spread of breast cancer cells.

The study is published today in the Journal of Experimental Medicine. It was funded by the United States Department of Defence, National Institutes of Health (US), Medical Research Council (UK) and the Wellcome Trust.

Professor Jeffrey Pollard, Director of the MRC Centre for Reproductive Health at the University of Edinburgh, said: "Our findings open the door to the development of treatments that target the tumour microenvironment, which may stop the deadly progression of breast cancer in its tracks."

---

Les scientifiques ont découvert un déclencheur qui permet aux cellules de cancer du sein de se propager aux poumons.


Ils ont découvert que le blocage de ces signaux dans des souris avec un cancer du sein réduit considérablement le nombre de tumeurs secondaires trouvés dans les poumons.

Les résultats pourraient mener à de nouvelles thérapies qui arrêtent la progression du cancer du sein, selon les chercheurs de l'Université d'Edimbourg.

La majorité des décès dus au cancer du sein sont causés par la tumeur qui se propage à d'autres parties du corps. Le poumon est souvent l'un des premiers organes à être affecté.

Des chercheurs du Centre de la MRC de l'Université pour la santé ont investigé sur le rôle que les cellules immunitaires appelées macrophages jouent en aidant les cellules de la tumeur d'origine à se répandre.

Leurs recherches antérieures ont montré que les cellules du cancer du sein ont besoin du soutien des macrophages pour envahir les poumons et mettre en place des tumeurs secondaires.

L'équipe a découvert que les macrophages nécessitent des molécules appelées chimiokines pour communiquer avec des cellules de cancer du Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 307163 .

Quand ils ont bloquée ces signaux chez la souris, ils ont constaté que le nombre de tumeurs secondaires dans les poumons a été réduite des deux tiers.

Bloquer les signaux aide à arrêter les cellules cancéreuses de pénétrer dans les poumons à travers la circulation sanguine. Ça a également empêcher celles qui pénétrent dans les poumons de s'y établir et de former de nouvelles tumeurs.

Les cellules humaines semblent utiliser les mêmes signaux de chimiokine pour communiquer les unes avec les autres. Les chercheurs espèrent que leurs découvertes pourraient un jour se traduire par de nouveaux traitements pour arrêter le cancer du sein de se propager.

Les résultats suggèrent que le ciblage d'une molécule de signalisation des récepteurs de chimiokines appelée CCR1 peut se traduire par moins d'effets secondaires indésirables chez les patientes lors de l'arrêt de la propagation des cellules cancéreuses du sein.

L'étude est publiée aujourd'hui dans le Journal of Experimental Medicine. Il a été financé par le Département de la Défense des États-Unis, National Institutes of Health (États-Unis), Conseil de recherches médicales (UK) et le Wellcome Trust.

Professeur Jeffrey Pollard, directeur du Centre de la MRC pour la santé reproductive à l'Université d'Edimbourg, a déclaré: «Nos résultats ouvrent la porte au développement de traitements qui ciblent le microenvironnement de la tumeur, ce qui peut arrêter la progression mortelle de cancer du sein sur ses traces."

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MessageSujet: Re: Empêcher les métastases : on s'approche.   Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 Icon_minitimeMar 28 Avr 2015 - 18:33

"Metastatic brain tumors -- often from lung, breast or skin cancers -- are the most commonly observed tumors within the brain and account for about 30 percent of advanced breast cancer metastases," says Khalid Shah, MS, PhD, director of the Molecular Neurotherapy and Imaging Laboratory in the MGH Departments of Radiology and Neurology, who led the study. "Our results are the first to provide insight into ways of targeting brain metastases with stem-cell-directed molecules that specifically induce the death of tumor cells and then eliminating the therapeutic stem cells."

In their search for novel, tumor-specific therapies that could target multiple brain metastases without damaging adjacent tissues, the research team first developed a mouse model that more closely mimics what is seen in patients. They found that injecting into the carotid artery breast cancer cells that express markers allowing them to enter the brain -- cells labelled with bioluminescent and fluorescent markers to enable tracking by imaging technologies -- resulted in the formation of many metastatic tumors throughout the brain, mimicking what is seen in advanced breast cancer patients. Current therapeutic options for such patients are limited, particularly when there are many metastases.

To devise a potential new therapy, the investigators engineered a population of neural stem cells to express a potent version of a gene called TRAIL, which codes for a molecule that activates cell-death-inducing receptors found only on the surface of cancer cells. Previous research by Shah and his colleagues had shown that two types of stem cells are naturally attracted toward tumors in the brain. After first verifying in their model that stem cells injected to the brain would travel to multiple metastatic sites and not to tumor-free areas, the team implanted TRAIL-expressing stem cells into the brains of metastasis-bearing mice, which reduced the growth of tumors. Injecting the TRAIL-expressing stem cells into the carotid artery, a likely strategy for clinical application, led to significantly slower tumor growth and increased survival, compared with animals receiving unaltered stem cells or control injections.

The safe use of a stem-cell-based therapy against brain metastasis would require preventing the engineered cells from persisting within the brain, where they could affect normal tissue and possibly give rise to new tumors. To facilitate removal of the therapeutic stem cells from the brain at the conclusion of therapy, the researchers created cells that, in addition to TRAIL, express a viral gene called HSV-TK, which renders them susceptible to the effects of the antiviral drug ganciclovir. Several tests in cultured cells indicated that ganciclovir would cause the death of HSV-TK-expressing stem cells, and testing in the mouse model confirmed that administration of the drug after successful treatment of brain metastases successfully eliminated therapeutic stem cells that also expressed HSV-TK.

Shah and his team are currently developing similar animal models of brain metastasis from lung cancers and from melanoma. They also are working to improve understanding of the therapeutic efficacy of simultaneously targeting multiple tumor-specific molecules on the surface of metastatic cells within the brain and anticipate that their findings will make a major contribution towards developing novel targeted therapies for metastatic tumors in the brain.

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"Les tumeurs cérébrales métastatiques - souvent provenant de cancers du Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 307171 , du Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 307163 ou de la Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 307276 - sont les tumeurs les plus fréquemment observés dans le cerveau et représentent environ 30 pour cent des avancées des métastases du cancer du sein», dit Khalid Shah, qui a dirigé l'étude. «Nos résultats sont les premiers à donner un aperçu des façons de cibler les métastases cérébrales avec des molécules de cellules souches dirigées qui induisent spécifiquement la mort des cellules tumorales, puis en éliminent les cellules souches thérapeutiques."

Dans leur recherche de nouvelles thérapies spécifiques de tumeur qui pourraient cibler plusieurs métastases cérébrales sans endommager les tissus adjacents, l'équipe de recherche a d'abord développé un modèle de souris qui imite de plus près ce qui est observé chez les patients. Ils ont découvert qu'injecter des cellules de cancer du sein qui expriment des marqueurs dans l'artère carotide permet de les faire entrer dans le cerveau. Les cellules marquées avec des marqueurs bioluminescents et fluorescents permettent le suivi par l'imagerie médicale. Cela conduit à la formation de nombreuses tumeurs métastatiques dans tout le cerveau, imitant ce qui est observé chez les patients atteints de cancer du sein avancé. Les options thérapeutiques actuelles pour ces patients sont limitées, en particulier quand il ya beaucoup de métastases.

Pour mettre au point une nouvelle thérapie potentielle, les enquêteurs ont conçu une population de cellules souches neurales pour exprimer une version puissante d'un gène appelé TRAIL, qui code pour une molécule qui active les récepteurs de mort cellulaire trouvés seulement sur la surface des cellules cancéreuses. Des recherches antérieures par Shah et ses collègues ont montré que deux types de cellules souches sont naturellement attirés vers les tumeurs dans le cerveau. Après avoir vérifié la première fois dans leur modèle que les cellules souches injectées dans le cerveau se rendraient à plusieurs sites métastatiques et non à des zones sans tumeur, l'équipe a implanté des cellules souches exprimant TRAIL dans le cerveau de souris portant des métastases , ce qui a réduit la croissance de tumeurs . L'injection de cellules souches exprimant le TRAIL dans l'artère carotide, une stratégie probable pour une application clinique, a conduit à la croissance tumorale significativement plus lente et une survie accrue, par rapport aux animaux ayant reçu des cellules souches non modifiés ou des injections de contrôle.

Pour l'utilisation sécuritaire d'un traitement à base de cellules souches contre des métastases cérébrales, il faudrait empêcher les cellules modifiées de persister dans le cerveau, où elles pourraient affecter les tissus normaux et éventuellement donner lieu à de nouvelles tumeurs. Pour faciliter l'enlèvement des cellules souches thérapeutiques du cerveau à la fin de la thérapie, les chercheurs ont créé des cellules qui, en plus de TRAIL, expriment un gène viral appelé HSV-TK, ce qui les rend sensibles aux effets du ganciclovir un médicament antiviral. Plusieurs tests dans les cellules cultivées ont indiqué que le ganciclovir entraînerait la mort de cellules souches exprimant HSV-TK, et l'essai dans le modèle de souris confirmé que l'administration du médicament après un traitement réussi de métastases cérébrales a réussi à éliminer les cellules souches thérapeutiques qui sont aussi exprimés HSV-TK .

Shah et son équipe sont en train de développer des modèles animaux similaires de métastases cérébrales de cancers du Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 307171 et d'un :mélanome: . Ils travaillent également à améliorer la compréhension de l'efficacité thérapeutique du ciblage simultanément des molécules spécifiques de tumeurs multiples sur la surface des cellules métastatiques dans le cerveau et prévoient que leurs résultats apporteront une contribution importante vers le développement de nouveaux traitements ciblés pour les tumeurs métastatiques dans le cerveau.

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MessageSujet: Re: Empêcher les métastases : on s'approche.   Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 Icon_minitimeVen 27 Fév 2015 - 13:20

A protein commonly found in human cells could be an important switch that activates cancer cell metastasis, according to a new study by researchers at the Montreal Neurological Institute and Hospital -- The Neuro at McGill University and the MUHC. The finding focuses attention on a biological mechanism that until now was largely overlooked. The discovery of the protein's effect significantly expands our understanding of epithelial cancers such as breast and lung cancer.

The study examined the function of a protein called DENND2B. During childhood development, DENND2B likely plays a role in the normal migration of cells. In adults, cell migration is greatly reduced, but in the case of cancer, there is unwanted cell migration, contributing to one of the most puzzling aspects of cancer cells -- metastasis to new locations.

"DENND2B activates another protein in the cell called Rab13, which is an enzyme that promotes cell migration," says Dr. Peter McPherson, a principal researcher whose laboratory at The Neuro made the discovery. "Until now, we didn't know how Rab13 was activated to initiate cell migration."

Maria Ioannou, a graduate student in Dr. McPherson's laboratory, found that Rab13 has an unusually high degree of expression in many forms of cancer, especially epithelial cancers that often metastasize to the brain.

"It was important to see exactly where in the cell Rab13 was being turned on," says Ioannou. "Where it's activated is important for figuring out how it functions. We saw that the DENND2B protein was activating Rab13 at the leading edge of the cell, an important point for cell migration."

Dr. McPherson sees Rab13 as a focus for future research into cancer therapies. His laboratory showed a significant result when, in collaboration with Dr. Morag Park at the Goodman Cancer Centre at McGill University, they injected highly aggressive human breast cancer cells into mice under two conditions -- one with cells having high levels of Rab13 protein, and one in which Rab13 was artificially removed.

"In the case of the cells with reduced Rab13 levels, the cancer either did not grow at all or formed a smaller tumour," notes Dr. McPherson. "Furthermore, the smaller tumour did not metastasize into other tissue."

No one had considered targeting Rab13 in relation to cancer before this study, says Dr. McPherson, adding that clinical trials involving the discovery are still some time away.

This work was supported by the Canadian Institutes of Health Research and the National Institutes of Health. Maria Ioannou holds a CIHR Frederick Banting and Charles Best Canada Graduate Scholarship. Dr. Peter McPherson is a James McGill Professor.

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Une protéine trouve couramment dans les cellules humaines pourrait être un interrupteur importante qui active la métastase des cellules de cancer, selon une nouvelle étude menée par des chercheurs de l'Institut neurologique de Montréal et l'Hôpital - le Neuro de l'Université McGill et le CUSM. La conclusion met l'accent sur un mécanisme biologique qui jusqu'à présent a été largement négligé. La découverte de l'effet de la protéine élargit considérablement notre compréhension des cancers épithéliaux tels que cancer du Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 307163 et du Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 307171 .

L'étude a examiné la fonction d'une protéine appelée DENND2B. Au cours du développement de l'enfance, DENND2B joue probablement un rôle dans la migration normale des cellules. Chez les adultes, la migration des cellules est considérablement réduite, mais dans le cas du cancer, la migration des cellules est non désirée et contribue à l'un des aspects les plus surprenantes de cellules cancéreuses - les métastases vers de nouveaux emplacements.

"DENND2B active une autre protéine dans la cellule appelée Rab13, qui est une enzyme qui favorise la migration des cellules," explique le Dr Peter McPherson, chercheur principal dont le laboratoire au Neuro fait la découverte. «Jusqu'à présent, nous ne savions pas comment Rab13 était activée pour lancer la migration cellulaire."

Maria Ioannou, une étudiante diplômée dans le laboratoire de la Dre McPherson, a constaté que Rab13 a un degré inhabituellement élevé d'expression dans de nombreuses formes de cancer, les cancers en particulier épithéliales qui métastasent souvent au cerveau.

«Il était important de voir exactement où la cellule Rab13 était allumé», dit-Ioannou. «Où elle est activé est important pour comprendre comment elle fonctionne. Nous avons vu que la protéine DENND2B activait Rab13 à la fine pointe de la cellule, un point important pour la migration cellulaire."

Dr McPherson voit Rab13 comme une priorité pour la recherche future sur les thérapies du cancer. Son laboratoire a montré un résultat significatif quand, en collaboration avec le Dr Morag Park au Centre du cancer Goodman de l'Université McGill, ils ont injecté des cellules très agressives de cancer du sein humain dans des souris à deux conditions - une avec des cellules ayant des niveaux élevés de la protéine Rab13, et une dans lequel Rab13 a été éliminé artificiellement.

"Dans le cas des cellules avec des niveaux réduits Rab13, le cancer soit n'a pas augmenté du tout ou soit il a formé une tumeur plus petite», note la Dre McPherson. "En outre, la tumeur n'a pas métastasée dans d'autres tissus."

Personne n'avait envisagé le ciblage Rab13 par rapport à un cancer avant cette étude, explique le Dr McPherson, ajoutant que les essais cliniques impliquant la découverte sont encore dans un temps éloigné.
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MessageSujet: Re: Empêcher les métastases : on s'approche.   Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 Icon_minitimeMer 25 Fév 2015 - 16:01

University of Manchester scientists have used graphene to target and neutralise cancer stem cells while not harming other cells.

This new development opens up the possibility of preventing or treating a broad range of cancers, using a non-toxic material.

Writing in the journal Oncotarget, the team of researchers led by Professor Michael Lisanti and Dr Aravind Vijayaraghavan has shown that graphene oxide, a modified form of graphene, acts as an anti-cancer agent that selectively targets cancer stem cells (CSCs). In combination with existing treatments, this could eventually lead to tumour shrinkage as well as preventing the spread of cancer and its recurrence after treatment. However, more pre-clinical studies and extensive clinical trials will be necessary to move this forward into the clinic to ensure patient benefit.

Professor Lisanti, the Director of the Manchester Centre for Cellular Metabolism within the University's Institute of Cancer Sciences, explained: "Cancer stem cells possess the ability to give rise to many different tumour cell types. They are responsible for the spread of cancer within the body -- known as metastasis- which is responsible for 90% of cancer deaths.

"They also play a crucial role in the recurrence of tumours after treatment. This is because conventional radiation and chemotherapies only kill the 'bulk' cancer cells, but do not generally affect the CSCs."

Dr Vijayaraghavan added: "Graphene oxide is stable in water and has shown potential in biomedical applications. It can readily enter or attach to the surface of cells, making it a candidate for targeted drug delivery. In this work, surprisingly, it's the graphene oxide itself that has been shown to be an effective anti-cancer drug.

"Cancer stem cells differentiate to form a small mass of cells known as a tumour-sphere. We saw that the graphene oxide flakes prevented CSCs from forming these, and instead forced them to differentiate into non-cancer stem-cells.

"Naturally, any new discovery such as this needs to undergo extensive study and trials before emerging as a therapeutic. We hope that these exciting results in laboratory cell cultures can translate into an equally effective real-life option for cancer therapy."

The team prepared a variety of graphene oxide formulations for testing against six different cancer types -- breast, pancreatic, lung, brain, ovarian and prostate. The flakes inhibited the formation of tumour sphere formation in all six types, suggesting that graphene oxide can be effective across all, or at least a large number of different cancers, by blocking processes which take place at the surface of the cells. The researchers suggest that, used in combination with conventional cancer treatments, this may deliver a better overall clinical outcome.

Dr Federica Sotgia, one of the co-authors of the study concluded: "These findings show that graphene oxide could possibly be applied as a lavage or rinse during surgery to clear CSCs or as a drug targeted at CSCs.

"Our results also show that graphene oxide is not toxic to healthy cells, which suggests that this treatment is likely to have fewer side-effects if used as an anti-cancer therapy."

Graphene has the potential to revolutionise a vast number of applications, lighter, stronger composites to flexible, bendable electronics. Graphene oxide can be used to create membranes that can coat surfaces to prevent corrosion, or filter clean water in real time. Demonstrating the remarkable properties of graphene won a University team of researchers the Nobel Prize for Physics in 2010.


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Des scientifiques de Université de Manchester ont utilisé le graphène pour cibler et neutraliser les cellules souches cancéreuses sans nuire à d'autres cellules.

Ce nouveau développement ouvre la possibilité de prévenir ou traiter un large éventail de cancers, en utilisant un matériau non toxique.

Écrit dans la revue Oncotarget, l'équipe de chercheurs dirigée par le professeur Michael Lisanti et le Dr Aravind Vijayaraghavan a montré que l'oxyde de graphène, une forme modifiée de graphène, agit comme un agent anti-cancer qui cible sélectivement les cellules souches du cancer (CSC). En combinaison avec les traitements existants, ce qui pourrait éventuellement conduire à un rétrécissement de la tumeur ainsi que la prévention de la propagation du cancer et de sa récurrence après le traitement. Cependant, des études plus pré-cliniques et des essais cliniques approfondis seront nécessaires pour faire avancer les choses dans la clinique pour se assurer bénéfice pour le patient.

Professeur Lisanti, le Directeur du Centre Manchester métabolisme cellulaire au sein de l'Institut de l'Université des Sciences du cancer, a expliqué: «Les cellules souches cancéreuses possèdent la capacité de donner naissance à de nombreux types de cellules tumorales différentes Ils sont responsables de la propagation du cancer dans le corps. - connu sous le nom metastases - qui sont responsables de 90% des décès par cancer.

"Ils jouent également un rôle crucial dans la récurrence des tumeurs après le traitement. C'est parce que le rayonnement et chimiothérapie conventionnelle tuent  les cellules cancéreuses« en vrac », mais n'affectent généralement pas la CSC."

Dr Vijayaraghavan ajouté: "l'oxyde de graphène est stable dans l'eau et a montré un potentiel dans des applications biomédicales. Il peut facilement entrer ou se fixer à la surface des cellules, ce qui en fait un candidat pour la livraison de médicament ciblé. Dans ce travail, étonnamment, c'est l'oxyde de graphène.. elle-même qui a été montré pour être un médicament efficace contre le cancer.

"Les Cellules souches du cancer se différencient pour former un petit amas de cellules connues comme une sphère de tumeur. Nous avons vu les paillettes d'oxyde de graphène empêcher les CSC de former celles-ci, et à la place elles les ont forcés à se différencier en cellules souches non-cancéreuses.

"Naturellement, toute nouvelle découverte comme celle-ci doit subir une étude approfondie et des essais avant d'émerger en tant que thérapeutique. Nous espérons que ces résultats passionnants dans des cultures cellulaires en laboratoire peuvent se traduire par une véritable option de vie tout aussi efficace pour le traitement du cancer."

L'équipe a préparé une variété de formulations d'oxyde de graphène pour les tests contre les six différents types de cancer - du Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 307163 , du Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 565294389 , du Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 307171 , du Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 307180 , des Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 307215 et de la Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 307098 . Les flocons ont inhibé la formation de la sphère de la tumeur dans les six types, ce qui indique que l'oxyde de graphène peut être efficace dans l'ensemble, ou au moins un grand nombre de différents cancers, en bloquant  des processus qui ont lieu à la surface des cellules. Les chercheurs suggèrent que, utilisé en combinaison avec des traitements conventionnels du cancer, cela peut produire un meilleur résultat clinique.

Dr Federica Sotgia, l'un des co-auteurs de l'étude a conclu: «Ces résultats montrent que l'oxyde de graphène pourrait être appliqué comme un lavage ou de rinçage pendant la chirurgie pour se débarrasser des CSC ou comme un médicament ciblé pour ces CSC.

"Nos résultats montrent également que l'oxyde de graphène n'est pas toxique pour les cellules saines, ce qui suggère que ce traitement est susceptible d'avoir moins d'effets secondaires si utilisé comme une thérapie anti-cancer."

Le graphène a le potentiel de révolutionner un grand nombre d'applications composites, plus légers, plus solides pour flexibles, pliables électronique. L'oxyde de graphène peut être utilisé pour créer des membranes qui peuvent revêtir des surfaces pour empêcher la corrosion, ou de filtrer l'eau propre en temps réel. Une équipe de l'université a remporter un prix nobel de Physique en 2010 en démontrantles propriétés remarquables du graphène.
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MessageSujet: Re: Empêcher les métastases : on s'approche.   Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 Icon_minitimeVen 31 Oct 2014 - 22:38

Un autre médicament fait également beaucoup parler de lui depuis sa découverte, il y a deux ans, le Liminib. Cette molécule est un inhibiteur de la protéine LIM Kinase (LIMK). Dans les cancers agressifs, cette protéine est surexprimée et permet le développement rapide des tumeurs. Le Liminib agit en bloquant la LIMK, ce qui freine le pouvoir de production et de migration des cellules cancéreuses.

Une étude récente dirigée par Laurence Lafanechère, chercheur au CNRS, a confirmé que le Liminib est toxique in vitro sur plusieurs lignées cellulaires cancéreuses, y compris sur des lignées résistantes aux chimiothérapies conventionnelles. Selon cette scientifique, son utilisation est envisagée d’ici 4 ou 5 ans sur l’homme pour le traitement des cancers résistants aux chimiothérapies actuelles.
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MessageSujet: Re: Empêcher les métastases : on s'approche.   Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 Icon_minitimeSam 11 Oct 2014 - 19:35

Les cellules cancéreuses peuvent quitter leur site d’origine et se faire invasives en créant des tumeurs dans d’autres organes, les métastases. Pour ralentir ou bloquer ce mécanisme, les médecins utilisent la chimiothérapie, mais ces traitements ne sont pas toujours efficaces et présentent de nombreux effets secondaires. C’est pourquoi des chercheurs tentent de trouver d’autres moyens d’empêcher les cellules cancéreuses de se déplacer dans l’organisme.

Parmi les cibles des futurs traitements anticancéreux, on trouve la protéine AXL, un récepteur tyrosine kinase présent à la surface des cellules cancéreuses. Celle-ci peut capter des signaux provenant de protéines appelées GAS6. C'est lorsque deux protéines GAS6 s’associent à deux protéines AXL qu'un signal provoque la migration des cellules cancéreuses d'un organe vers un autre, ce qui se traduit par l'apparition de métastases distantes.

Une équipe américaine de Standford dirigée par Jennifer Cochran et Amato Giaccia est parvenue à empêcher l’interaction entre AXL et GAS6. Pour atteindre ce but, les chercheurs ont créé une version inoffensive d’AXL qui s’associe à GAS6 dans le sang et empêche GAS6 de se lier aux protéines AXL « normales » présentes sur les cellules cancéreuses.

Pour identifier la protéine AXL la plus apte à remplir cette fonction, les chercheurs ont créé des millions de séquences d’ADN légèrement différentes, chacune codant pour un des variants de la protéine AXL. Ils ont ensuite sélectionné le variant qui se lierait le mieux à GAS6. Les chercheurs ont ensuite injecté cette protéine AXL dans le sang de souris atteintes de cancers du sein ou de l’ovaire. Résultats : de 78 % à 90 % de nodules métastatiques en moins par rapport aux souris non traitées.

La protéine que les chercheurs ont créée agit comme un leurre pour GAS6, qu'elle empêche de s'exprimer. Pour Amato Giaccia, l'un des auteurs de l’article, « c’est une thérapie très prometteuse qui semble efficace et non-toxique et pourrait ouvrir une nouvelle approche au traitement du cancer ».

Article rédigé par Georges Simmonds pour RT Flash
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MessageSujet: Re: Empêcher les métastases : on s'approche.   Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 Icon_minitimeJeu 24 Juil 2014 - 13:59

Metastasis, the strategy adopted by tumor cells to transform into an aggressive form of cancer, are often associated with a gloomy prognosis. Managing to block the metastasis or, even better, prevent their formation would be a giant step towards the fight against cancer. Researchers at Université catholique de Louvain (Belgium) successfully performed this world first on models of human tumors in mice. The results of their study are published online on 24 July in the journal Cell Reports.

The work by Professor Pierre Sonveaux's team, at Université catholique de Louvain's Institute of Experimental and Clinical Research (IREC), succeeded in pinpointing a family of pharmaceutical compounds whose action prevents the appearance of tumor metastasis. The researchers achieved this tour de force by studying the mitochondria in tumor cells. These organelles are considered as the cells' power station. But when their functioning is altered, as the UCL researchers observed in tumor cells, the mitochondria can promote cell migration, thus leading to the formation of metastasis.

Paolo E. Porporato, a post-doctoral researcher, and other young researchers in Professor Pierre Sonveaux's team, examined the molecular mechanism responsible for the mitochondria's ability to promote metastasis. They succeeded in showing that, under certain conditions, the mitochondria produce more free radicals known as superoxide ions (O2.-). It is this overproduction of superoxide that leads to the formation of metastasis and, consequently, the growth of a tumor.

Involved in other human pathologies such as Parkinson's and Alzheimer's disease, the production of superoxide by the mitochondria can be blocked by very specific antioxidants such as MitoTEMPO. Used in models of murine and human tumors, these compounds turned out to be very efficient at blocking the migration of tumor cells and preventing the spontaneous formation of human tumor metastasis in mice!

This research was conducted within the framework of projects mainly financed by an ERC Starting Grant, which Pierre Sonveaux obtained in 2009, and support from the F.R.S.-FNRS, Télévie and the Fondation contre le Cancer. The discovery of a treatment capable of blocking the mechanism responsible for the formation of metastasis and the existence of a family of promising compounds, is encouragement for their future assessment in a clinical study that aims to validate a preventive treatment against tumor metastasis.


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Les métastases, la stratégie adoptée par les cellules tumorales pour se transformer en une forme agressive de cancer, sont souvent associés à un pronostic sombre. La gestion pour bloquer les métastases ou, encore mieux, pour prévenir leur formation serait un pas de géant vers la lutte contre le cancer. Des chercheurs de l'Université catholique de Louvain (Belgique) ont réalisé avec succès cette première mondiale sur des modèles de tumeurs humaines chez la souris. Les résultats de leur étude sont publiés en ligne le 24 Juillet dans la revue Cell.

Les travaux de l'équipe du professeur Pierre Sonveaux, à l'Institut de l'Université catholique de Louvain de recherche clinique et expérimentale (IREC), a réussi à repérer une famille de composés pharmaceutiques dont l'action empêche l'apparition de métastases tumorales. Les chercheurs ont réalisé ce tour de force en étudiant les mitochondries dans les cellules tumorales. Ces organites sont considérés comme la centrale électrique des cellules. Mais lorsque leur fonctionnement est altéré, comme les chercheurs de l'UCL observés dans les cellules tumorales, les mitochondries peuvent favoriser la migration des cellules, conduisant ainsi à la formation de métastases.

Paolo E. Porporato, un chercheur post-doctoral, et d'autres jeunes chercheurs dans l'équipe du professeur Pierre Sonveaux, ont examiné le mécanisme moléculaire responsable de la capacité des mitochondries à promouvoir la métastase. Ils ont réussi à démontrer que, sous certaines conditions, les mitochondries produisent plus de radicaux libres connus comme les ions superoxyde (O2. -). C'est cette surproduction de superoxyde qui conduit à la formation de métastases et, par conséquent, la croissance d'une tumeur.

Impliqué dans d'autres pathologies humaines telles que la maladie de Parkinson et la maladie d'Alzheimer, la production de superoxyde par les mitochondries peut être bloqué par des antioxydants très spécifiques tels que MitoTEMPO. Utilisé dans des modèles de tumeurs murines et humaines, ces composés se sont révélés être très efficaces pour bloquer la migration des cellules tumorales et la prévention de la formation spontanée d'une métastase de tumeur humaine chez la souris!

Cette recherche a été menée dans le cadre de projets financés principalement par une subvention de démarrage du CER, que Pierre Sonveaux a obtenu en 2009, et le soutien du FRS-FNRS, du Télévie et de la Fondation contre le cancer. La découverte d'un traitement capable de bloquer le mécanisme responsable de la formation de métastases et l'existence d'une famille de composés prometteurs, est un encouragement pour leur évaluation ultérieure dans une étude clinique qui a pour but de valider un traitement préventif contre les métastases tumorales.
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MessageSujet: Re: Empêcher les métastases : on s'approche.   Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 Icon_minitimeSam 28 Déc 2013 - 12:46

En cas de faibles niveaux d’oxygène à l'intérieur des tumeurs, que font les cellules cancéreuses ? Elles s’adaptent pour promouvoir encore plus la propagation du cancer, explique cette étude de la Johns Hopkins qui décrit le processus moléculaire en chaîne qui permet aux cellules d’être encore plus mobiles et invasives. Ces travaux, présentés dans les Actes de l’Académie des Sciences américaine, soulignent l'importance des facteurs induits par l'hypoxie dans la propagation des métastases du cancer du sein et confirme 2 cibles qui favorisent ce que les chercheurs nomment ici le « groove » des cellules cancéreuses.



Des biologistes du Johns Hopkins ont découvert que les conditions d’hypoxie, qui persistent souvent à l'intérieur des tumeurs vont en fait favoriser le développement des métastases du cancer du sein. Alors que les protéines RhoA et ROCK1 étaient déjà connues pour aggraver, à niveaux élevés, le pronostic en cas de cancer du Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 307163 , les chercheurs confirment qu’elles dotent les cellules cancéreuses d’une capacité de mobilité supplémentaire et expliquent l’ensemble du processus moléculaire. Et si les gènes qui codent pour RhoA et ROCK1 étaient déjà connus pour être activés dans les cellules humaines de cancer du sein métastatique et si dans quelques cas, ces niveaux accrus pouvaient s’expliquer par une cause génétique, les scientifiques identifient ici le principal facteur déclenchant de ce processus, l’hypoxie.



L’hypoxie booste le mécanisme de survie des cellules cancéreuses : Lorsque les cellules tumorales se multiplient, l'intérieur de la tumeur commence à manquer d'oxygène, car il n'est plus alimenté par les vaisseaux sanguins. Ce manque d'oxygène active des protéines qui aident les cellules à s'adapter à la rareté de l'oxygène. S’il s’agit d’un mécanisme indispensable à la survie, il vaut aussi pour les cellules cancéreuses qui s'échappent alors de la tumeur pour se propager à d'autres parties du corps.



Des filaments et des « tentacules » : Les Prs Gregg Semenza et Michael Armstrong, auteurs de l'étude confirment : «La production de ces protéines augmente considérablement lorsque les cellules cancéreuses du sein sont exposées à une déficience en oxygène ». C’est alors que les cellules cancéreuses subissent de nombreuses modifications de structure, dont la formation de filaments minces (en vert sur le visuel du bas) qui permet aux cellules de se contracter et des sortes de tentacules (en rouge) qui permet aux cellules de se hisser le long des tissus.



De nouvelles cibles prometteuses : Non seulement RhoA et Rock1 qui induisent la formation de ces structures sont confirmées comme des cibles thérapeutiques prometteuses mais c’est également le cas pour l’ensemble des facteurs, induits par l’hypoxie qui déclenchent ce processus. Ainsi, en laboratoire, l’équipe montre avec succès qu’elle parvient à réduire la mobilité des cellules de cancer du sein en utilisant des astuces génétiques qui inhibent les facteurs inductibles par l'hypoxie. Maintenant que le mécanisme est compris, concluent les auteurs, nous espérons que les essais cliniques sur des médicaments qui inhibent ces facteurs confirmeront leur capacité de prévention des métastases chez les femmes atteintes de cancer du sein.



Source: PNAS December 9, 2013 doi: 10.1073/pnas.1321510111 Hypoxia-inducible factors mediate coordinated RhoA-ROCK1 expression and signaling in breast cancer cells
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MessageSujet: Re: Empêcher les métastases : on s'approche.   Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 Icon_minitimeMer 30 Oct 2013 - 10:04

Oct. 28, 2013 — A new study by University of Kentucky Markey Cancer Center researchers Min Chen and Kathleen O'Connor shows that a specific protein may assist breast cancer cells in metastasizing.


Tumor cells escape a primary tumor by a process called invasion. This process of invasion requires cells to migrate or move through tissue. This process is controlled by the restructuring of the actin cytoskeleton.

Signal transduction through the Rho-ROCK pathway can regulate the reorganization of the actin cytoskeleton such that it can form membrane ruffles at the front of a cell, which is used to efficiently move the cell forward, and form strong tension fibers (often referred to as stress fibers) within the body of the cell.

Published in Oncogene, the study found that a metastasis-associated protein known as S100A4 or metastasin can switch Rho function from making stress fibers to creating membrane ruffles.

Stress fibers are associated with non-motile cells, while their absence when coupled with the presence of membrane ruffles at the leading edge of cells is associated with cell migration and tumor invasion.

"Finding that S100A4 changes how Rho functions is a huge breakthrough and helps us to understand better how these two proteins contribute to metastasis," said O'Connor, professor in the Department of Molecular and Cellular Biochemistry at UK. "My lab is continuing to figure out just how these two proteins interact to drive invasion and metastasis. We are using this information to design better therapies for cancer patients. Currently, we do not have drugs that combat tumor invasion or metastasis despite the fact that metastasis is the major cause of cancer patient deaths. It is our hope that soon we will determine how to use selective drugs to target these pathways and improve the lives of cancer patients."

The ability of a cell to invade more efficiently leads to increased rates of metastasis. Up until this point, how the Rho-ROCK pathway could promote both functions was unknown


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28 octobre 2013 - Une nouvelle étude de l'Université du Kentucky Markey Cancer Center chercheurs Min Chen et Kathleen O'Connor montre qu'une protéine spécifique peut aider les cellules du cancer du sein à métastaser .


Les cellules tumorales s'échappent d'une tumeur primaire par un processus appelé invasion. Ce processus d'invasion nécessite que les cellules migrent ou se déplacent à travers les tissus . Ce processus est contrôlé par la restructuration du cytosquelette d'actine.

La transduction du signal par la voie de Rho-ROCK peut réguler la réorganisation du cytosquelette d'actine tel qu'il peut former une membrane mobile à l'avant d'une cellule, qui est utilisé pour déplacer efficacement la cellule vers l'avant, et former des fibres de forte tension ( souvent appelé fibres de stress ) dans le corps de la cellule .

Publiée dans Oncogene , l'étude a révélé que la protéine associée à la métastase appelée S100A4 ou metastasine peut basculer la molécule Rho en mode de fabrication de fibres de stress à la création de membrane mobile .

Les fibres de stress sont associés à des cellules non-mobiles , mais en leur absence lorsqu'elle est associée à la présence de la membrane mobile au niveau du bord d'attaque des cellules c'est associée à la migration cellulaire et à l'invasion tumorale .

"Constater que S100A4 change la façon dont rho fonctionne est une énorme percée et nous aide à mieux comprendre comment ces deux protéines contribuent à la métastase », a déclaré O'Connor, professeur au Département de biochimie moléculaire et cellulaire au Royaume-Uni. "

Mon laboratoire continue pour comprendre à quel point ces deux protéines interagissent pour conduire l'invasion et les métastases. Nous utilisons ces informations pour concevoir de meilleurs traitements pour les patients atteints de cancer . Actuellement, nous n'avons pas de médicaments pour combattre l'invasion tumorale ou les métastases malgré le fait que la  métastase est la principale cause de décès des patients atteints de cancer. c'est notre espoir que, bientôt, nous allons déterminer comment utiliser les médicaments sélectifs afin de cibler ces voies et d'améliorer la vie des patients atteints de cancer . "

La capacité d'une cellule à envahir mène à l'augmentation des taux de métastases. Jusqu'à maintenant, comment la voie Rho-ROCK pourrait promouvoir ces deux fonctions était inconnue.
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MessageSujet: Re: Empêcher les métastases : on s'approche.   Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 Icon_minitimeJeu 2 Mai 2013 - 21:34

Apr. 30, 2013 — Cancer cells are wily, well-traveled adversaries, constantly side-stepping treatments to stop their spread. But for the first time, scientists at the University of Michigan have decoded the molecular chatter that ramps certain cancer cells into overdrive and can cause tumors to metastasize throughout the body.

Les cellules cancéreuses sont des adversaires coriaces et évitent constamment les traitements faits pour les mettre en échec. Mais pour la première fois, les scientifiques ont décodés le bavardage entre les molécules qui fait monter certaines cellules cancéreuses à un stage ou elles peuvent devenir des métastases à travers tout le corps.

Researchers have long known that tumors recruit healing cells, which is a major reason why cancer is so difficult to thwart. This is the first known study to explain the molecular behavior behind the series of changes that happen in the healing cells that result in metastasis.

Les chercheurs savent depuis longtemps que les cellules cancéreuses recrutent les saines, ce qui est une raison majeure pour laquelle le cancer est si difficile à contrecarrer. C'est la première étude qui explique le comportement des molécules au delà des séries de changements qui arrive de la cellule saine jusqu'à la métastase.

Russell Taichman, a professor at the U-M School of Dentistry and research associate Younghun Jung looked at prostate and breast tumors. Their study, "Recruitment of mesenchymal stem cells into prostate tumors promotes metastasis," appears April 30 in the online journal Nature Communications.

Consider that a tumor is a wound that won't heal. To that end, both cancerous and benign tumors emit distress signals and messages to recruit healing-type cells, called mesenchymal stem cells, or MSCs, Taichman said.

Il faut considérer qu'une tumeur est comme une blessure qui ne guérit pas. À ce moment, les cellules cancéreuses et les bénignes émettent des signaux de détresse et des messages pour recruter les cellules de type guérisseuses appelées cellules souches mésenchémiales.

"Now we know what messages (tumors) send to recruit and alter those healing cells, and we can take steps to block those messages," said Taichman, the study's principal investigator.

Maintenant nous connaissons ces messages envoyés pour recruter et altérer les cellules saines
et nous pouvons prendre des moyens pour bloquer ces messages, dit Taichman


With this information, researchers can now try to develop drugs to pharmaceutically derail tumor formation earlier. This is especially important because this particular molecular signaling involves reactions among proteins that actually make cancer cells more migratory, more aggressive and more likely to spread.

Avec ces informations, les chercheurs peuvent maintenant essayer de développer des médicaments pour faire dérailler la formation de tumeurs plus tôt. C'est important parce que cette molécule particulière impliquent des réactions parmi les protéines qui rendent les cellules cancéreuses plus migratoires, plus agressives et plus aptes à métastaser.

To that end, Taichman said he was surprised at the large role played by the protein CXCL16 in altering the healing type cells in such a way that they revved the cancer cells into overdrive.

Taichman a été surpris du grand rôle joué par la protéine CXCL16

"Think of giving a bunch of kids sugar, and they all go nuts," he said.

On a personal level, the way the results emerged also delighted Taichman. Half of the researchers in Taichman's lab work on tumor development and half on wound healing. The research of Jung, the first author on the study, straddles both.

"It was her idea to put these together," Taichman said. "She sorted it all out, came up with the idea and finally came to me
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MessageSujet: Re: Empêcher les métastases : on s'approche.   Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 Icon_minitimeJeu 31 Jan 2013 - 12:30

Jan. 30, 2013 — Disrupting a key interaction between two types of proteins in cells inhibits the spread of cancerous cells, providing researchers with a new pathway toward developing cancer-fighting drugs, according to new findings by Georgia State University scientists.

Cell migration is essential for the spread of cancerous cells, also known as metastasis, as well as for other diseases. The research team in the labs of Zhi-Ren Liu, professor of biology, and Jenny Yang, professor of biochemistry, studied the interaction of two molecules, p68 RNA helicase and calcium-calmodulin.

Interrupting the interaction between p68 and calcium-calmodulin, which is essential for cell migration, inhibited metastasis.

The findings were recently published in Nature Communications.

"Cancer, at its primary site, will not necessary kill," Liu explained. "Cancer kills by multi-site metastasis. If we are able to disrupt this interaction, we will able to inhibit cancer metastasis. The research indicates that the interaction is absolutely required for all cell migration, and we suspect it may not be limited to cancerous-type cells. It may be a general phenomenon for all cell types."

Calcium-calmodulin is an important protein, acting like a messenger to turn different proteins on and off, said Yang, whose lab focuses on calcium's role in biological processes.

"Calmodulin is a very interesting protein and it interacts with many different systems in response to calcium level changes," she said. "We have demonstrated a new target. There are new ways possible to modulate calcium signaling as a way to treat diseases."

Because cell migration is a common phenomenon that is not only normal, but also related to diseases, there are impacts on treating other diseases, Liu said, from inflammation to neurodegenerative diseases and heart disease.


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Perturber une interaction importante entre deux types de protéines dans les cellules empêche la propagation des cellules cancéreuses, fournissant aux chercheurs une nouvelle voie vers le développement médicaments contre le cancer, selon les nouvelles données par des scientifiques de l'Université d'Etat de Géorgie.

La migration cellulaire est essentielle pour la propagation des cellules cancéreuses, aussi connu comme les métastases, ainsi que pour d'autres maladies. L'équipe de recherche dans les laboratoires de Zhi-Ren Liu, professeur de biologie, et Jenny Yang, professeur de biochimie, a étudié l'interaction de deux molécules d'ARN hélicase, p68 et le calcium-calmoduline.

Interruption de l'interaction entre p68 et le calcium-calmoduline, ce qui est essentiel pour la migration cellulaire, inhibe les métastases.

Les résultats ont été récemment publiés dans Nature Communications.

«Le cancer, à son site principal, tuera pas nécessairement", a expliqué Liu. «Le cancer tue en multi-sites de métastases. Si nous sommes capables de perturber cette interaction, nous serons en mesure d'inhiber la métastatisation du cancer. La recherche indique que l'interaction est absolument nécessaire pour toute migration cellulaire, et nous pensons qu'il ne peut pas se limiter aux cellules type cancéreuses. C'est peut-être un phénomène général pour tous les types de cellules. "

Calcium-calmoduline est une protéine importante, agissant comme messager pour activer ou désactiver différentes protéines, a dit Yang, dont le laboratoire se concentre sur le rôle du calcium dans les processus biologiques.

«La calmoduline est une protéine très intéressant et il interagit avec de nombreux systèmes différents en réponse aux variations de niveau de calcium», at-elle dit. «Nous avons démontré une nouvelle cible. Il existe de nouvelles façons possibles pour moduler la signalisation calcique comme un moyen de traiter les maladies."

Parce que la migration cellulaire est un phénomène commun qui peut être normal, mais aussi liées à des maladies, il ya des impacts sur le traitement d'autres maladies, a dit Liu, de l'inflammation des maladies neurodégénératives aux maladies cardiaques.
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MessageSujet: Re: Empêcher les métastases : on s'approche.   Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 Icon_minitimeMer 28 Nov 2012 - 15:48

(Nov. 28, 2012) — Scientists from the Florida campus of The Scripps Research Institute (TSRI) have uncovered a group of what have been considered relatively minor regulators in the body that band together to suppress the spread of cancer from its primary site.

Des scientifiques de la Floride ont découvert un groupe de ce qui était considéré comme des régulateurs mineurs dans le corps qui se lie ensemble pour supprimer les métastases à partir du site primaire.

The discovery offers a fresh batch of possible therapeutic targets as well as new diagnostic tools with the potential to predict and inhibit the spread of cancer (metastasis) in patients suffering from the disease.

Cette découverte offre plusieurs nouvelles cibles thérapeutiques possibles aussi bien que de nouveaux outile de diagnostic avec le potentiel de prédire et d'inhiber les métastases du cancer.

The research, published recently in The Journal of Biological Chemistry, was conducted by TSRI Professor Donald G. Phinney, a nationally recognized authority in the study of adult bone marrow-derived stem cells, and a postdoctoral fellow in his laboratory, Christopher L. Haga.

In the new study, the scientists found that a cluster of seven microRNAs (miRNA) function cooperatively to repress a process known as epithelial-to-mesenchymal transition (EMT). While EMT is part of the normal biology of cell development in some parts of the body, the process has recently been implicated in two dangerous aspects of tumor growth -- tumor metastasis and the growth of drug-resistant cancer stem cells.

Dans cette nouvelle étude, les scientifiques ont découvert une région avec 7 micro ARNs qui fonctionnent en coopération pour réprimer un processus connu la transition EMT (epithélial vers mesenchémial) Même si cette transition EMT est un processus biologique normale dans certaines parties du corps, le processus a été récemment impliqué dans 2 aspects dangereux de la croissance tumorale, les métastases et la croissance de la résistance aux médicaments des cellules souches.

MicroRNAs are tiny fragments of RNA found in all mammalian cells. They bind to messenger RNAs, a process that generally results in gene silencing. This cluster of miRNAs, located in a genetic region known as DLK1-DIO3, suppresses a specific signaling network in human cancers that primarily affect glands such as breast cancer.

Les micro ARNs sont de petits fragments de ARN trouvés dans toutes les cellules des mamifères. Ils se lient aux ARNs messagers, un processus qui généralement rend le gène silencieux. Cette région de microARNs localisé dans un endroit nommé DLK1-DIO3, supprime un réseau spécifique dans les cancers humains qui affectent principalement les cancers des glandes comme celui du Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 307163 .

"These results establish the DLKI-DIO3 miRNA cluster as a critical checkpoint regulating tumor growth and metastasis," said Phinney. "Our data shows that when this cluster is silenced, it accelerates tumorogenesis and proliferation by inducing EMT."

Ces résultats établissent l'ensemble DLK1-DIO3 comme une région critique régulant la croissance des métastases. Nos donnée smontrent que lorsque cette région est rendue silencieuse, cela accélère la croissance des tumeurs et leurs proliférations en induisant la transition EMT.

Silencing the DLK1-DIO3 genetic region is an early event for tumors, Phinney said, pointing out that micro-metastasis can be detected even in the early stages of breast cancer.

Rendre silencieuse (neutraliser) cette région est un événement précoce de la survenue de la tumeur. Des micros métastases peuvent être détectées dans les premiers stages du cancer du Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 307163

One of the seven miRNAs highlighted in the new study -- MiR-544 -- appears to be potent in its powers of inhibition, repressing cancer cell proliferation by inducing Ataxia telangiectasia mutated (ATM), a protein involved in stopping the cell cycle once DNA damage is detected.

Un des 7 miARNs reconnus dans cette étude, le mir-544, semble être puissant dans sa fonction d'inhibition, il réprime la prolifération des cellules cancéreuses en induisant ATM , une protéine impliquée dans l'arrêt du cycle cellulaire une fois que des dommages à l'ADN sont détectés.

"What's interesting is that MiR-544 blocks cell growth in every tumor cell line we've put it into, so we're looking at it as a potential therapeutic target," Phinney said.

Ce qui est intéressant est que le MIR-544 bloque la croissance de la cellule dans chaque ligne de cellules cancéreuses que nous lui avons présenté, aussi nous pensons à son utilisation potentiel comme thérapie.

Phinney noted that dozens of miRNAs exist in the same genetic region. "It's possible there are other clusters that work together to affect tumor growth and metastasis," he said.
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MessageSujet: Re: Empêcher les métastases : on s'approche.   Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 Icon_minitimeMar 16 Aoû 2011 - 18:19

C'est très très encourageant comme nouvelle cet article. ok
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MessageSujet: Re: Empêcher les métastases : on s'approche.   Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 Icon_minitimeMar 16 Aoû 2011 - 15:32

Des chercheurs européens ont découvert comment les cellules cancéreuses réussissent à se frayer un chemin hors des tumeurs pour ainsi se répandre dans le corps et former des métastases.

Le Pr Chris Marshall de l'institut britannique de la recherche sur le cancer et des collègues français ont établi qu'une protéine appelée JAK déclenche des « contractions » au sein de la tumeur, un phénomène qui permet aux cellules cancéreuses de se glisser dans de petits espaces et qui les aide à se disperser.

Selon les auteurs de ces travaux publiés dans le magazine Cancer Cell, cette connaissance permet d'espérer la mise au point de nouvelles techniques qui permettront d'arrêter la propagation de la maladie.

Il faut savoir qu'un cancer qui se répand et qui forme des métastases est toujours plus difficile à traiter, puisque les tumeurs secondaires sont habituellement plus agressives.

Les données montrent que plus de 90 % des morts du cancer sont liées à la formation de métastases.

Plus de détails

Les oncologues affirment que leurs observations des agents chimiques impliqués dans la migration cellulaire au sein d'un mélanome, un cancer de la peau, permettent de penser que les cellules malsaines se déplacent de deux façons :


•Elles peuvent se glisser dans de petits espaces lors du processus décrit plus haut.
•Elles peuvent emprunter des corridors formés par la tumeur, qui facilitent leurs sorties.
.
Les deux processus sont contrôlés par la protéine JAK, dont le rôle n'est pas inconnu par la médecine puisqu'elle a déjà été associée à la leucémie, explique le Pr Marshall.

D'ailleurs, des médicaments ciblant JAK sont actuellement en développement et des essais cliniques pourraient commencer dans les prochaines années.

voir pour la leucémie et JAK-2 ici
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MessageSujet: Re: Empêcher les métastases : on s'approche.   Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 Icon_minitimeMar 3 Mai 2011 - 20:07

(May 3, 2011) — A protein known as WWP2 appears to play a key role in tumor survival, a research team headed by a scientist at The University of Texas MD Anderson Cancer Center reports in an advance online publication of Nature Cell Biology.

Une protéine appelée WWP2 semble jouer un rôle clé dans la survie des tumeurs.

Their research suggests that the little-studied protein binds to the tumor-suppressing protein PTEN (phosphatase and tensin homologue deleted on chromosome 10), marking it for destruction by proteasomes, which degrade proteins and recycle their components.

Leur recherche suggère que cette protéine peu étudiée se lie à PTEN une autre protéine qui supprime les tumeurs, elle la marque pour la destruction par les protéasomes, qui dégradent les protéines et font le recyclage de leurs composantes.

PTEN plays a role regulating the cellular reproduction cycle and prevents rapid cell growth, a hallmark of malignant cells. Its gene is mutated or deleted in many types of cancer, the researchers noted.

PTEn joue le rôle de régulation du cycle de reproduction de la cellule et de prévention de sa croissance rapide, une caractéristique du cancer. Ce gène est muté ou effacer dans plusieurs types de cancer.

The WWP2 (atrophin-1 interacting protein 2) protein was discovered in the laboratory of Junjie Chen, Ph.D., professor and chair in MD Anderson's Department of Experimental Radiation Oncology and senior author of the paper.

"We were trying to find regulators of PTEN when we isolated the protein WWP2 as a putative PTEN-associated protein," Chen said. He noted that WWP2 caught the researchers' attention because it is similar to the NEDD4-1 protein, which has been proposed as a regulator of PTEN function.

First suspect doesn't affect PTEN

WWP2 is an E3 ubiquitin ligase in the NEDD4-like protein family. Ubiquitins attach to other proteins, labeling them for degradation by proteasomes. NEDD4-like proteins play important roles regulating gene transcription, embryonic stem cells, cellular transport and activation of T cells.

WWP2 est un ligase ubiquitin E3 de la famille de NEDD4, un homologue de protéine. Les ubiquitins s'attachent à d'autres protéines les marquant pour la dégradation par les proteasomes. Ces protéines jouent un rôle important en régulant des gènes de transcription, les cellules souches embryonniques, le transport cellulaire et l'activation des cellules T.

"But when NEDD4-1 is deleted in mice, researchers have not seen a clear change in PTEN protein level," Chen noted. "These findings suggest that there may be other PTEN regulators.

Mais lorsque NEDD4-1 est effacée dans les souris, les chercheurs n'ont pas vu de différence claire dans le niveau de PTEN, cela suggérait de chercher un autre régulateur.

"Because WWP2 is part of the NEDD4-like family, we decided to take a look at it to see if it's the real regulator of PTEN," Chen continued. "When you knock down WWP2, you see an increase in PTEN level, whereas with WWP2 overexpression you can see a decrease in PTEN. This finding indicates that WWP2 may be involved in PTEN's regulation."

On a décdé de regarder WWP2, nou sl'Avons bloquer et nous avons vu les niveaux de PTen augmenter, pareillement une sur-expression de WWP2 provoqait la raréfication de PTEN.

Overall, the study results suggest that WWP2 can regulate PTEN stability, Chen said.

Possibly a cancer-driving gene

The team uncovered evidence that WWP2 is a potential oncogene -- a driver in tumor formation and growth. In one experiment, mice with normal WWP2 developed prostate cancer tumors after nine weeks that were more than three times the size of tumors in mice with WWP2 silenced.

L'équipe a découvert que WWP2 était un possible oncogène - une protéine qui aide la formation des tumeurs et leurs croissances. Dans une expérience, les souris avec le WWP2 normal ont développé des tumeurs du cancer de la Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 307098 et après 9 semaines ces tumeurs étaient plus que 3 fois la grosseur des tumeurs des souris ou l'on avaient éliminé la WWP2.

Chen noted that more research is needed to determine whether WWP2 is functionally important in tumors or in tumor formation. "We need to look at real tumor samples to determine whether tumors with reduced PTEN expression could result from the overexpression of WWP2."

Plus de recherches sont nécessaires pour déterminer si WWP2 fonctionne sur les tumeurs ou sur la formation des tumeurs. Il faut déterminer si des tumeurs PTEN peuvent survenir de la surexpression de WWP2.

He added that some early studies suggest that WWP2 may operate in tumors, but a correlation between WWP2 overexpression and PTEN downregulation in tumors has not been established.

This work was supported in part by a grant from the Department of Biotechnology, Ministry of Science and Technology, India, a U.S. Department of Defense Era of Hope Research Scholar Award, an NIH Specialized Program of Research Excellence award to Mayo Clinic, and a National Cancer Institute grant to MD Anderson. Also, fellowship support came from the Department of Biotechnology, Council of Scientific and Industrial Research and University Grants Commission, India, and support from the Institute of Life Sciences, Hyderabad, India.
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MessageSujet: Re: Empêcher les métastases : on s'approche.   Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 Icon_minitimeLun 18 Avr 2011 - 12:49

Merci Denis pour toutes ces avancées....
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MessageSujet: Re: Empêcher les métastases : on s'approche.   Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 Icon_minitimeLun 18 Avr 2011 - 12:19



À cette adresse internet, il y a une vidéo qui explique bien la recherche au sujet des métastases :


http://www.bonjour-docteur.com/actualite-sante-stopper-le-developpement-des-metastases-2670.asp

une image vaut mille mots...
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Denis
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MessageSujet: Re: Empêcher les métastases : on s'approche.   Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 Icon_minitimeMer 9 Fév 2011 - 17:35

(Feb. 4, 2011)

In a discovery that may lead to a new treatment for breast cancer that has spread to the bone, a Princeton University research team has unraveled a mystery about how these tumors take root.

Dans une découverte qui pourrait conduire à un nouveau traitement pour le cancer du sein qui s'est propagé aux os, une équipe de recherche de l'Université de Princeton a élucidé un mystère sur la façon dont ces tumeurs prennent racine.

Cancer cells often travel throughout the body and cause new tumors in individuals with advanced breast cancer -- a process called metastasis -- commonly resulting in malignant bone tumors. What the Princeton research has uncovered is the exact mechanism that lets the traveling tumor cells disrupt normal bone growth. By zeroing in on the molecules involved, and particularly a protein called "Jagged1" that sends destructive signals to cells, the research team has opened the door to drug therapies that could block this disruptive process. Doctors at other medical centers who have reviewed the research have found it promising.

Les cellules cancéreuses Voyagent souvent à travers le corps et peuvent causer de nouvelles tumeurs chez les personnes atteintes d'un cancer du sein avancé - un processus appelé métastase se traduit souvent par des tumeurs osseuses malignes. La recherche de Princeton a découvert le mécanisme exact qui permet aux cellules tumorales de voyager et de perturber la croissance normale des os. En se concentrant sur le molécules impliquées, et en particulier une protéine appelée «Jagged1" qui envoie des signaux aux cellules destructrices, l'équipe de recherche a ouvert la porte à des traitements médicamenteux qui pourraient bloquer le processus de rupture. Les médecins d'autres centres médicaux qui ont examiné la recherche l'ont trouvé prometteuse.

"Right now we don't have many treatments to offer these patients," said Yibin Kang, an associate professor of molecular biology at Princeton who led the research team. "Doctors can manage the symptoms of this bone cancer, but they can't do much more. Our findings suggest there could be a new way of treatment," one that could slow or halt these bone tumors.

Notre recherche suggère qu'il pourrait y avoir un nouveau moyen de traitement qui pourrait arrêter ou ralentir ces tumeurs des os.

Breast cancer spreads to the bone in 70 to 80 percent of patients with advanced breast cancer, and it can also spread to the brain, lung and liver. Metastatic bone cancer is also a frequent occurrence among patients with advanced prostate, lung and skin cancers. In findings that will be published online in the journal Cancer Cell on Feb. 3, the team's research shows that breast tumor cells are able to give bone cells the wrong instructions through a process known as cell signaling -- with disastrous effects for the patient.

Les métastases sont férquentes.

The billions of cells in a living human body must communicate to develop, repair tissue, and effectively maintain normal physiological functions. Cell signaling is part of a complex system that enables them to do that but, in patients with cancer, the relationship between signaling molecules and the molecules that communicate with them has gone awry.

Les milliards de cellules dans un corps humain vivant doivent communiquer pour se développer, pour répararer des tissus, et maintenir efficacement les fonctions physiologiques normales. La signalisation cellulaire fait partie d'un système complexe qui leur permet de faire cela, mais, chez les patients atteints de cancer, la relation entre les molécules de signalisation et les molécules qui communiquent avec eux a mal tourné.

Signaling molecules are those that can be received and read by a cell through a receptor molecule on its surface. Once the signaling molecules connect with a receptor, their union sets off a process that leads to the receiving cell changing its behavior. The sequence of events that follows involves a signaling pathway, which is a group of molecules that work together, one molecule activating the next until a specific function is carried out, such as renewing an organ's cells. There are many such signaling pathways.

Les molécules de signalisation sont celles qui peuvent être reçues et lues par une cellule avec une molécule réceptrice sur sa surface. Une fois que les molécules de signalisation connectées à un récepteur, cela conduit à un processus qui force la cellule réceptrice à changer son comportement. La séquence des événements qui suit comporte une voie de signalisation, qui est un groupe de molécules qui travaillent ensemble, une molécule activant l'autre jusqu'à ce qu'une fonction spécifique soit réalisée, comme le renouvellement des cellules d'un organe. Il ya beaucoup de ces voies de signalisation.


But in the case of metastatic breast cancer, a disruptive pathway is formed. The signaling molecule, also known as a ligand, connects with a receptor molecule on certain bone cells and activates a cellular pathway that ultimately disrupts healthy bone renewal. Kang's team identified the signaling molecule as Jagged1, and the receptor molecule as one that activates a cellular pathway known as the "Notch pathway."


Mais dans le cas du cancer du sein métastatique, une voie de rupture est formé. La molécule de signalisation, aussi connu comme un ligand, se connecte avec une molécule réceptrice sur certaines cellules osseuses et active une voie cellulaire qui perturbe finalement le renouvellement osseux sain. l'équipe de Kang a identifié la molécule de signalisation Jagged1, et la molécule du récepteur comme celle qui active une voie cellulaire connu sous le nom "de la voie Notch."

This finding gives cancer researchers a specific target, Kang said -- that of developing ways "to neutralize Jagged1's destructive power" and keeping it from interfering with normal bone growth.

Cette découverte donne un cible spécifique aux chercheurs, celle de jagged1 qui a un pouvoir destrutif qui est d'interférer avec la croissance normale des os.

At the Memorial Sloan-Kettering Cancer Center in New York City, Jacqueline Bromberg, a physician who also studies breast cancer, said the findings of Kang's team are promising.

"The bone is the most common site for metastasis in patients with breast cancer," said Bromberg, who met Kang several years ago while he was a postdoctoral fellow at Sloan Kettering. She noted that although there are treatments that can slow these tumors, such as estrogen-blockers, radiation and chemotherapy, "we have few therapies which effectively eradicate bone metastasis."

At the University of Indiana School of Medicine in Indianapolis, oncology professor Theresa Guise said the Princeton discoveries "show critical interactions between the tumor cells and bone cells." She added that the team has made a valuable contribution to research in that it "has dissected the contribution of the tumor and the micro-environment in this process."

À l'Université de l'Indiana School of Medicine à Indianapolis, l'oncologie professeur Theresa Guise dit que cette découverte "montre les interactions critiques entre les cellules tumorales et les cellules osseuses." Elle a ajouté que l'équipe a apporté une contribution précieuse à la recherche en ce qu'il "a disséqué la contribution de la tumeur et le micro-environnement dans ce processus.

Finding Has Link to Earlier Breast Cancer Work

The research builds on earlier work begun six years ago by Kang's laboratory that looked at how several different signaling pathways promote the spread of cancer to the bone. In a study published in the journal Nature Medicine in 2009, Kang showed that a pathway known as TGF beta plays a role in the growth of bone tumors. But until the recent study, it was not clear that Jagged1 plays a crucial role in that process. Before the current work focused on identifying the series of interconnected events that create the network of destructive pathways, Kang and Nilay Sethi, a dual degree student who recently finished his Ph.D. in molecular biology at Princeton, worked to find first which of the signaling molecules were at work in patients with breast cancer that had metastasized to the bone.

La recherche s'appuie sur les travaux antérieurs entrepris il ya six ans par le laboratoire de Kang qui s'est penché sur la façon qu'ont plusieurs voies de signalisation de promouvoir la propagation du cancer à l'os. Dans une étude publiée dans le journal Nature Medicine en 2009, Kang a montré qu'une voie connue sous le nom TGF bêta joue un rôle dans la croissance des tumeurs osseuses. Mais jusqu'à cette étude récente, il n'était pas clair que Jagged1 joue un rôle crucial dans ce processus. Avant les travaux en cours axés sur l'identification de la série d'événements reliés entre eux qui créent le réseau des voies destructrices, Kang et Nilay Sethi, un étudiant de double diplôme qui a récemment terminé son doctorat en biologie moléculaire à Princeton, ont travaillé à trouver d'abord quelles sont les molécules de signalisation qui sont à l'œuvre chez les patients avec le cancer du Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 307163 qui a métastasé à l'os.

"It turned out that tumor samples from patients with breast cancer that had spread to the bone had higher levels of Jagged1," said Sethi, who is now completing his medical degree at the University of Medicine and Dentistry of New Jersey-Robert Wood Johnson Medical School.

"Il s'est avéré que les échantillons tumoraux de patients souffrant du cancer du sein qui s'est propagé aux os ont des niveaux plus élevés de Jagged1", a déclaré Sethi.

The current research shows that, when the Jagged1 signaling molecule binds to its receptor molecule on the bone-producing cells, the interaction turns on the signaling pathway called Notch, and that leads to dramatic changes in bone growth. "It's like a key finding its matching lock, and opens a floodgate of information," Kang said. "Unfortunately, in this case, the Jagged1-Notch signaling is misused by cancer cells to serve a destructive purpose."

La recherche actuelle montre que, lorsque la signalisation Jagged1 est lié à sa molécule réceptrice sur les cellules productrices d'os, l'interaction se tourne sur la voie de signalisation appelé Notch , ce qui conduit à des changements dramatiques dans la croissance osseuse. «C'est comme une clé à trouver la serrure correspondant, qui ouvrirait une porte d'écluse d'informations», dit Kang. "Malheureusement, dans ce cas, le Jagged1-signalisation Notch est mal utilisé par les cellules cancéreuses et sert un but destructeur.

In healthy bone, specialized bone cells called osteoclasts scour the bone surface and use a combination of enzymes and acids to break down the old bone. Then another group of bone cells called osteoblasts deposit a new layer of bone matrix to rebuild the bone tissue. Working just like cellular excavators and paving machines, the bone-scrubbing osteoclasts and bone-building osteoblasts work in sync every day to renew the bone and maintain its strength. When these cells' activity gets out of balance, bone diseases can result.

While tumor cells lack the specialized tools that osteoclasts have to break down the bone, they are able to use the destructive Jagged1 molecule to disrupt the balanced activity of bone renewal, forcing the osteoclasts and osteoblasts to behave in a way that allows the tumor cells to invade the bone, Kang explained.

For example, by activating Notch signaling in osteoclasts, Jagged1 makes osteoclasts mature more quickly from their precursor cells, known as monocytes. A massive accumulation of these bone-scouring osteoclasts becomes the front line of the invasive force of tumor cells. That speeds up the breakdown of bone tissue and clears the way for tumor cells to expand into a malignant mass in the bone.

"Meanwhile, Jagged1 instructs the osteoblasts to secrete elevated levels of Interleukin-6, a tumor growth factor, so the cancer grows even faster," Kang said. "It's a one-two punch."

Creating further damage, the breakdown of the bone matrix releases a large quantity of another protein called TGF-beta, another signaling molecule that is embedded in the bone matrix during the bone-building process. In their earlier work published in 2009, Kang and colleagues showed that the TGF-beta protein derived from bones fuels the malignant growth of bone metastasis.

In the current study, some experiments conducted by Sethi established a surprising new link between TGF-beta and the Jagged1 molecule in bone metastasis.

Dans l'étude actuelle, certaines expériences menées par Sethi ont établi un lien surprenant entre la nouvelle TGF-beta et la molécule Jagged1 dans les métastases osseuses.

"When tumor cells use the hijacked osteoclasts to break down the bone and release TGF-beta, it signals back to tumor cells to further stimulate the expression in Jagged1 in tumor cells," Sethi said. "The link between the Jagged1/Notch and TGF-beta pathways establishes a vicious cycle, essentially driving the unstoppable expansion of tumor and the destruction of skeletal tissues."

As a medical student, Sethi said he is acutely aware of the consequence of bone metastasis. "These patients suffer a lot. They have fractures, severe bone pain and debilitating nerve compression," he said. In addition, as the bone breaks down, calcium builds up in the blood, causing other life-threatening complications.


Blocking Destructive Pathway a Potential Treatment Path


The key to stopping the process appears to be finding a way to neutralize the Jagged1 signaling molecule or its receptor Notch.

Kang has several ideas on how scientists may learn how to do just that. One way to interrupt the destructive process is to put a roadblock in the Notch pathway. There is a way to do that by halting the activity of gamma secretase -- an enzyme that plays a key role when the Notch pathway is activated --because without it the delivery of instructions to bone cells cannot be completed. The pharmaceutical firm Merck & Co. has developed one such experimental drug that stops gamma secretase, known as a gamma secretase inhibitor or GSI, and the company has provided it to Kang's lab to support his team's work.

The drug has already shown promise treating metastatic bone cancer, Kang said. In animal experiments, the inhibitors have been proven to block the disease-causing signaling between tumor cells and bone cells, communication mediated by Jagged1 and Notch. Kang said GSI can reduce bone metastasis significantly, along with a dramatic reduction of bone destruction.

He hopes his team's new data showing that GSIs appear to work to halt the spread of cancer to the bone will result in clinicians starting a clinical trial of GSI to fight breast cancer metastases in the near future.

According to Kang, there are few drugs currently available to relieve symptoms associated with bone metastases, and none is able to completely stop the cancer. If Kang's findings lead to a drug that can halt or slow this process, it could affect the 200,000 patients that the NCI estimates are diagnosed every year with breast cancer. It might work for some other cancer patients as well, Kang said.

Selon Kang, il y a peu de médicaments disponibles actuellement pour soulager les symptômes associés avec des métastases osseuses, et aucun n'est capable d'arrêter complètement le cancer. Si les résultats de Kang conduisent à un médicament qui peut stopper ou ralentir ce processus, il pourrait affecter les 200.000 patients sont diagnostiqués chaque année avec un cancer du sein. Cela peut fonctionner pour certains patients atteints de d'autres cancers aussi, dit Kang.

Sloan-Kettering's Bromberg said Kang's recent discovery "underlies the importance of targeting the environmental milieu" in which disease develops, in this case the activity of the Notch signaling pathway and specific interactions between cancer cells and the specialized cells that break down and rebuild bone.

Cela souligne l'importance de cibler le micro-environnement.
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MessageSujet: Re: Empêcher les métastases : on s'approche.   Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 Icon_minitimeLun 24 Jan 2011 - 12:48

(Jan. 24, 2011) — Scientists at the University of East Anglia (UEA) have discovered a rogue gene involved in the spread of cancer in the body. By blocking the gene, they believe, cancer could be stopped in its tracks.

Les scientifiques ont découvert un gène-voyou qui est impliqué dans le phénomène des métastases à travers le corps. en bloquant ce gène, ils croient pouvoir arrêter le cancer de se répandre.

Published in the journal Oncogene, the discovery is a breakthrough in our understanding of how cancer spreads. It is hoped the research will lead to new drugs that halt the critical late stage of the disease when cancer cells spread to other parts of the body.

Publié dans le journal "Oncogene", la découverte est une avancée dans la compréhension sur la mani;re dont le cancer s'y prend pour se répandre. On espère que de nouveaux médicament pourront arrêter les métastases.

The culprit gene -- known as WWP2 -- is an enzymic bonding agent found inside cancer cells. It attacks and breaks down a natural inhibitor in the body which normally prevents cancer cells spreading. The UEA team found that by blocking WWP2, levels of the natural inhibitor are boosted and the cancer cells remain dormant. If a drug was developed that deactivated WWP2, conventional therapies and surgery could be used on primary tumours, with no risk of the disease taking hold elsewhere.

Le gène coupable, connu sous le nom de WWP2, est un agent enzymatique liant trouvé à l'intérieur de la cellule cancéreuse. Il s'attaque et annule le travail d'un inhibiteur naturel de cancer. L'équyipe a découvert qu'en bloquant WWP2, les niveaux de cet inhibiteur naturel son booster et le cancer reste dormant. Si un médicament était développé qui désactive WWP2, les thérapies conventionnelles et la chirurgie pourraitent être u tilisées sans qu'il y ait un risque que la maladie se développe ailleurs.

Lead author Andrew Chantry, of UEA's School of Biological Sciences, said the discovery could lead to the development of a new generation of drugs within the next decade that could be used to stop the aggressive spread of most forms of the disease, including breast, brain, colon and skin cancer.

Ça pourrait arrêter les cancers du Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 307141 Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 307163 Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 307180 Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 307276

"The late-stages of cancer involve a process known as metastasis -- a critical phase in the progression of the disease that cannot currently be treated or prevented," said Dr Chantry.

"The challenge now is to identify a potent drug that will get inside cancer cells and destroy the activity of the rogue gene. This is a difficult but not impossible task, made easier by the deeper understanding of the biological processes revealed in this study."

The research was funded by UK-based charity the Association of International Cancer Research (AICR), with additional support from the Big C Charity and the British Skin Foundation.

Dr Mark Matfield, scientific co-ordinator of AICR, said: "This is a very exciting new discovery and a perfect example of the way that basic research into cancer can open up ways to develop new ways to treat cancer."

The initial discovery was made while researchers were studying a group of natural cancer cell inhibitors called 'Smads'.

Dr Surinder Soond, who spearheaded the experimental work in the laboratory, said: "This is a very novel and exciting approach to treating cancer and the spread of tumours which holds great potential."


C'est une mani;re très nouvelle et excitante de traiter le cancer et les métatstases qui a un grand potentiel.
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MessageSujet: Re: Empêcher les métastases : on s'approche.   Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 Icon_minitimeMar 18 Jan 2011 - 0:39

Grâce aux travaux de chercheurs de l’Institut et hôpital neurologiques de Montréal de l’Université McGill, on sait désormais un peu mieux comment les cellules cancéreuses prolifèrent dans le corps humain. Elles seraient dépourvues de cette « forte colle » dont sont munies les cellules normales. Résultat? Les cellules indésirables arrivent à se propager plus facilement dans d’autres parties du corps. Cette nouvelle connaissance devrait mener à la mise au point d’outils diagnostiques plus précis et à des stratégies freinant la propagation du cancer.

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MessageSujet: Re: Empêcher les métastases : on s'approche.   Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 Icon_minitimeMar 4 Jan 2011 - 16:42

Vaccinex, Inc. débute des essais cliniques d'un nouvel anticorps thérapeutique chez les patients atteints d'un cancer avec des tumeurs solides avancées
Mardi 04 Jan à 19:30 | Communiqué

ROCHESTER, New York, January 4, 2011 /PRNewswire/ -- Vaccinex, Inc. a annoncé aujourd'hui qu'elle a reçu l'accord de la FDA (administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments) et qu'elle va débuter un essai clinique de Phase 1 pour évaluer la sécurité, la tolérance, la pharmacocinétique et la pharmacodynamique d'un candidat anticorps thérapeutique VX15/2503 chez les patients atteint d'un cancer avec des tumeurs solides avancées.

(Logo: http://photos.prnewswire.com/prnh/20101101/NY92716LOGO )

VX15/2503 est un nouvel anticorps humanisé qui bloque l'activité de la sémaphorine 4D (SEMA4D). Il s'agit du premier de deux anticorps thérapeutiques de la société qui devrait commencer des essais cliniques cette année. << Amener VX15 au stade clinique de développement est une réussite formidable pour Vaccinex, et un témoignage de l'expérience et des incroyables possibilités de nos équipes de développement et de recherche, >> a indiqué Ray Watkins, le vice-président directeur et directeur de l'exploitation de la société.

<< SEMA4D est une cible thérapeutique intéressante avec des propriétés biologiques remarquables concernant plusieurs processus de maladie, >> a déclaré Dr. Maurice Zauderer, président et président directeur général de Vaccinex. Comme son nom l'indique, sémaphorine, la molécule guide l'activation et le mouvement de différents types de cellules, de différentes façons. Par exemple, SEMA4D favorise la migration de cellules cancérigènes qui métastasent dans de nouveaux endroits, ainsi que de l'excroissance de cellules qui forment de nouveaux vaisseaux sanguins nécessaires pour fournir les nutriments et l'énergie aux tumeurs. Il est attendu que, en bloquant ce signal, l'anticorps anti-SEMA4D ( http://www.vaccinex.com/pipeline-antibody-vx15-oncology.htm) inhibera à la fois la croissance de tumeurs primaires et limitera les métastases dans de nouveaux endroits. << C'est important, >> a déclaré Dr. Zauderer, << parce que si les tumeurs ne se métastasaient pas, alors les chirurgiens pourraient guérir le cancer. >> Dans d'autres processus de la maladie, et d'autres tissus, comme par exemple les dommages aux neurones dans les maladies démyélinisantes telles que la sclérose multiple, la même sémaphorine a un effet opposé sur l'excroissance des cellules, empêchant la régénération et la remyélinisation des neurones endommagés. Dans ce cas, Dr. Zauderer a indiqué, << L'anticorps VX15/2503 a le potentiel d'être une nouvelle approche radicale au traitement de la sclérose multiple ( http://www.vaccinex.com/pipeline-antibody-vx15-multiple-sclerosis.htm), agissant à la fois en tant qu'anti-inflammatoire pour protéger de la progression de la maladie, mais aussi pour favoriser la guérison des tissus endommagés. >> Vaccinex prévoit de débuter un deuxième essai de VX15/2503 pour la sclérose multiple plus tard dans l'année.

À propos de Vaccinex (http://www.vaccinex.com), Inc.

Fondée en 1997 et située à Rochester, NY, Vaccinex, Inc. est une société privée de biotechnologie engagée dans la découverte et le développement d'anticorps monoclonaux thérapeutiques humains, ainsi que de vaccins pour traiter les maladies graves avec des besoins non satisfaits. http://www.vaccinex.com/.

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MessageSujet: Re: Empêcher les métastases : on s'approche.   Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 Icon_minitimeDim 4 Avr 2010 - 22:32

(Apr. 4, 2010) — A team of scientists led by the University of East Anglia (UEA) has discovered a brand new group of molecules which could help fight the spread of cancer and other diseases.


Une équipe de scientifiques a découvert un tout nouveau groupe de molécule qui pourrait aider à combattre le phénomène de métastase du cancer.


The new molecules are synthetic derivatives of a natural product known as UDP-Galactose, and block the activity of a group of enzymes called glycosyltransferases. Glycosyltransferases are used by biological cells to turn simple sugars into elongated sugar chains and branched structures.

Ces nouvelles molécules sont des dérivées synthétique d'un produit naturel connu sous le nom de UDP-Galactose qui bloque un groupe d'enzymes appelés glycosyltransferase. Les glycotransferase sont utilisées par les cellules pour transformer le sucre simple en chaine de sucre allongé et en ramifications de structures.


Published online by the journal Nature Chemical Biology, the findings could lead to a significant therapeutic advance in the treatment of cancer, inflammation and infection.

Ces découvertes pourraient conduire à une avancée significative dans le traitement du cancer.

Many biological cells -- including cancer cells and bacterial cells -- are literally covered by a coating of sugar. This sugar coating influences the way cells communicate with their environment and with each other.

Les cellules cancéreuses sont couvertes d'une couche de sucre et cette couche de sucre influence la manière dont les cellules communiquent entre elles et avec leur environnement.

For example, when a cancer spreads through the body or a bacterium infiltrates its human host many of the contacts the rogue cells make with other cells are through these sugars on their cell surface.

Quand une cellule voyage à travers le corps, ses contact avec les autres cellules se font à travers ces sucres sur la surface des cellules

To form the complex sugar structures that decorate their surface, cells rely on gylcosyltransferases to join individual sugar building blocks together. The UEA researchers have found that synthetic UDP-Galactose derivatives block these enzymes effectively. These molecules can therefore potentially be used to interfere with harmful biological processes such as cancer metastasis and bacterial infection.

Pour former les sructures complexes du sucre qui décorent leur surface, Les cellules dépendent du gylcosyltranferase pour assembler les structures individuelles ensemble. Les chercheurs ont trouvé que la dérivé de l'udp-Galactose synthétique bloque efficacement ces enzymes. CEs molécules peuvent donc être employé pour interférer avec le processus de métastase.

The work was carried out by researchers at UEA's School of Pharmacy, working alongside colleagues at the Carlsberg Research Centre in Denmark.

"This exciting discovery of a potent enzyme inhibitor with a completely new mechanism of action has considerable therapeutic potential in cancer, inflammation and infection," said lead author Dr Gerd Wagner of UEA.

Cette découverte excitante d'un puissant inhibiteur d'enzyme avec un tout nouveau mécanisme d'action a un potentiel thérapeuthique considérable.

"Our results also provide a general strategy for how to design and improve such inhibitors in the future. The 'snapshots' we have taken of one of these enzymes, together with the new inhibitor itself, can provide very valuable guidance for the development of new anti-cancer and anti-infective drug candidates."

Nos résultats fournissent aussi une stratégie générale pour désigner et améliorer de tels inhibiteurs dans le future. Les photos prises d'un de ces enzymes avec le nouvel inhibiteur lui-même peuvent fournir un guide pour le développement de nouveau médicament anti-cancer.
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MessageSujet: Un mécanisme qui aide les métastases découvert.   Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 Icon_minitimeSam 10 Nov 2007 - 0:26

(Nov. 10, 2007) — A mechanism that creates an “invisibility cloak” for certain cancer cells and allows them to hide from the immune system has been uncovered by a team of researchers at the University of British Columbia.

Un mécanisme qui crée un manteau invisible pour certaines cellules cancéreuses et leur permet de se cacher du système immunitaire a été découvert par une équipe de recherche à l'université de Columbia.

Prof. Wilfred Jefferies and his team found that metastatic tumours (cancers that spread from primary site) can evade the immune system via a process called chromatin remodeling. The invisibility mechanism operates in malignant carcinomas that include ovarian, prostate, melanoma and cervical cancers and is particularly active in breast and lung cancers.

Wilfred Jefferies et son équipe a découvert que les tumeurs métastasiques peuvent échapper au système immunitaire au travers d'un processus appelé remodeling de chromatine. Le mécanisme invisible agit dans le cancer de Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 307215 , de la Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 307098 de la Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 307276 le cancer du colde l'utérus et il est particulièrement actif dans le cancer du Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 307163 et du Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 307171

“This discovery begins to address the mysteries of how cancer hides from the immune system and spreads -- it helps explain 20 years of observations in the field,” says Jefferies, a member of UBC’s Michael Smith Laboratories and Biomedical Research Centre. “It may offer whole new avenues for therapies.”

Cette découverte survient après 20 ans de recherche dans le domaine et pourrait mener à de nouvelles avenues de traitement.

Human DNA is packaged within each cell by chromatin, which is made up of DNA that encases proteins called histones. The UBC team discovered that in tumours, chromatin remodelling changes the structure of chromosomes by altering the histone codex or “instruction manual.” These changes reduce production of receptors called MHC I molecules that display cancer-specific signals, or tags, recognized by the immune system.

Le remodeling de chromatine change la structure des chromosomes en altérant le codes de l'histone ou son manuel d'instruction.
Ces changements réduisent la production de récepteurs appelés MHC 1 qui envoient les signaux spécifiques au cancer qui sont reconnus par le système immunitaire.


When cancer-specific tags are not displayed, the cancer cells become “invisible” to the immune system and no defenses are mobilized -- the tumour cells are free to grow and spread. Furthermore, the high incidence of MHC I loss can be used as a predictor of rapid tumour growth progression and survival rates.

The research has recently been published in Molecular and Cellular Biology. Jefferies is a UBC professor of Medical Genetics, Microbiology and Immunology and of Zoology.

Jefferies says the findings may lead, within five to 10 years, to new therapies that will force the cancer cells to “drop the cloak of invisibility” and be recognized by the immune system.

Jefferies dit que ces découvertes peuvent conduire en dedans de 5 ou 10 ans à de nouvelles thérapies pour forcer les cellules cancéreuses à laisser tomber leurs manteaux d'invisibilité et ainsi d'être reconnu par le système immunitaire.

The research team includes A. Francesca Setiadi, Muriel D. David, Robyn P. Seipp, Jennifer A. Hartikainen, and Rayshad Gopaul.

The research has been supported by the National Cancer Institute of Canada; the Prostate Cancer Foundation; the Canadian Institutes of Health Research; the Michael Smith Foundation for Health Research and the Natural Sciences and Engineering Research Council.


Dernière édition par Denis le Lun 18 Avr 2011 - 14:08, édité 1 fois
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Denis
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MessageSujet: Proche de pouvoir bloquer les métastases (sur 15% cancers)   Empêcher les métastases : on s'approche. - Page 2 Icon_minitimeMer 5 Sep 2007 - 10:58

Des chercheurs portugais progressent dans la lutte contre le cancer du sein

http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/50752.htm

Une équipe de chercheurs portugais et israéliens sont parvenus à démontrer la relation entre le récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR) et les carcinomes de type basal qui représente 15% des types de cancer du sein. Leurs travaux ont été publiés dans l'édition en ligne de la revue Nature Cell Biology.

Selon les chercheurs de l'Institut de Pathologie et d'Immunologie Moléculaire de l'Université de Porto (IPATIMUP) et de l'Institut Weizmann d'Israël "Ces résultats sont très encourageants et montrent que nous sommes très proches de pouvoir bloquer la capacité métastatique de ce type de cancer". Contrairement aux carcinomes dotés de récepteurs d'oestrogènes qui répondent aux thérapies hormonales (Tamoxifène) ou au Herceptin, ces tumeurs de type basique n'ont pas de cible thérapeutique définie.

Les chercheurs ont noté que lorsqu'ils stimulaient "l'EFGR à l'intérieur de la cellule, l'expression de la molécule, appelé cten, augmentait ainsi que la capacité de migration des cellules malignes, les métastases".
De plus, après avoir étudié 300 malades, les chercheurs ont remarqués une importante quantité de cten chez les patients qui développaient un cancer métastatique.

Un traitement permettant d'inhiber les EFGR des tumeurs à un stade avancé de la maladie a révélé que "lorsque le récepteur était bloqué, la molécule cten disparaissait presque et la capacité de métastatique diminuait". Fernando Schmitt, chercheur à l'IPATIMUP explique que cette découverte s'applique surtout aux cancers présentant des métastases pulmonaires et cérébrales.
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