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Denis
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MessageSujet: Re: Modifier les habitudes   Modifier les habitudes Icon_minitimeVen 7 Déc 2018 - 16:53

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MessageSujet: Re: Modifier les habitudes   Modifier les habitudes Icon_minitimeMer 18 Juil 2018 - 9:59

Having an early supper or leaving an interval of at least two hours before going to bed are both associated with a lower risk of breast and prostate cancer. Specifically, people who take their evening meal before 9 pm or wait at least two hours before going to sleep have an approximate 20% lower risk of those types of cancer compared to people who have supper after 10pm or those who eat and go to bed very close afterwards, respectively. These were the main conclusions of a new study by the Barcelona Institute for Global Health (ISGlobal), a centre supported by the "la Caixa" Banking Foundation. The study is the first to analyse the association between cancer risk and the timing of meals and sleep.

---

Avoir un souper tôt ou laisser un intervalle d'au moins deux heures avant d'aller au lit sont tous deux associés à un risque plus faible de cancer du Modifier les habitudes 307163 et de la Modifier les habitudes 307098 .

Plus précisément, les personnes qui prennent leur repas du soir avant 21 heures ou qui attendent au moins deux heures avant d'aller se coucher ont un risque d'environ 20% plus faible que les personnes qui soupent après 22 heures ou qui mangent et se couchent très fermer ensuite, respectivement.

Telles sont les conclusions principales d'une nouvelle étude de l'Institut de Santé Globale de Barcelone (ISGlobal), un centre soutenu par la Fondation Bancaire "la Caixa". L'étude est la première à analyser l'association entre le risque de cancer et le moment des repas et du sommeil.
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MessageSujet: Re: Modifier les habitudes   Modifier les habitudes Icon_minitimeVen 5 Mai 2017 - 14:41

Je ne parle pas souvent d'exercices physiques malgré que de nombreux articles disent que c'est bon pour combattre le cancer ou au moins pour ne pas qu'il revienne.


Mais je ne suis pas très exercice alors j'évite de penser à ça simplement, peut-être que le mieux serait que quelqu'un invente une pilule qui remplace l'exercice comme ceci :



Une pilule produit les mêmes effets bénéfiques que l'exercice physique comme brûler la graisse et augmenter l'endurance, montre une étude sur des souris qui offre un espoir aux sédentaires, aux handicapés, ou encore aux obèses et aux cardiaques.
Ces chercheurs de l'Institut Salk à San Diego en Californie publient ces travaux mardi dans la revue Cell Metabolism.

Avec cette molécule expérimentale, ils sont parvenus chez les rongeurs à agir notamment sur un gène qui joue un rôle clé pour brûler la graisse de l'organisme et doper l'endurance.
Ils avaient, dans une précédente étude, découvert que des souris génétiquement modifiées pour activer de manière permanente le gène PPAR delta (PPARD) devenaient naturellement des marathoniennes, ne prenaient pas de poids et étaient très réactives à l'insuline. Bref toutes les qualités qui vont de pair avec la forme physique.

Ces scientifiques, menés par Ronald Evans, sont parvenus aux mêmes résultats avec cette molécule expérimentale dont le nom est GW1516 (GW).

Les souris sédentaires traitées ainsi ont couru dans une roue pendant 270 minutes avant d'être épuisées.

En comparaison, les souris soumises à la même épreuve mais sans le GW ont atteint leurs limites après seulement 160 minutes.
Ce gain d'endurance de 70% s'est également accompagné d'autres bienfaits pour la santé, sans modification physiologique des muscles cependant.
Ainsi les souris traitées pendant deux mois avec la molécule GW ont pris nettement moins de poids et mieux contrôlé leur glycémie. Cela laisse penser que cette substance pourrait aussi aider les diabétiques.
«On sait déjà qu'on améliore son endurance par l'entraînement physique», relève le professeur Evans de l'Institut médical Howard Hughes et patron de la chaire de biologie moléculaire à l'Institut Salk.
«La question qui se posait pour nous était de comprendre le mécanisme de l'endurance et de déterminer dans ce cas s'il était possible de remplacer l'exercice physique par un médicament», poursuit-il.
Fonctions cérébrales préservées
Cette expérience a montré que cette molécule GW modifiait en fait l'expression de 975 gènes.
Les gènes qui jouent un rôle pour brûler la graisse devenaient plus actifs dans les muscles des souris tandis que ceux brûlant les sucres cessaient ou ralentissaient leur activité.
Cette molécule fait donc brûler la graisse de l'organisme plus rapidement et le sucre plus lentement.
«Cette étude suggère que le processus de brûler la graisse est moins important dans l'endurance que le mécanisme compensatoire de conserver le glucose», résume Michael Downes, un scientifique de l'Institut Salk, principal co-auteur de cette recherche.
«Par son action, le gène PPARD bloque le métabolisme du sucre dans les muscles de manière à conserver le glucose pour le cerveau, permettant ainsi de préserver les fonctions cérébrales», explique-t-il.
La molécule GW a été initialement mise au point par les groupes pharmaceutiques britannique GlaxoSmithKline (GSK) et américain Ligand pharmaceuticals dans les années 1990 pour traiter des maladies du métabolisme et cardiovasculaires.
Ce traitement expérimental a été abandonné après plusieurs essais cliniques en raison apparemment d'un risque de provoquer un cancer quand la substance est prise à hautes doses.
Il y a une dizaine d'années, des tests avec des souris ont révélé que la molécule GW pouvait potentiellement augmenter l'endurance.
Cette découverte a créé un marché noir de cette substance vendue comme complément alimentaire sous le nom d'Endurobol et dont ont abusé certains athlètes durant les Jeux olympiques de Pékin en 2008.
L'année suivante, cette substance a été interdite par l'Agence mondiale antidopage qui la jugeait dangereuse.
Mais malgré cela, les scientifiques expliquent qu'ils continuent à l'étudier en raison de son important potentiel. Cette dernière recherche est notamment financée par les Instituts américains de la santé (NIH).
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MessageSujet: Re: Modifier les habitudes   Modifier les habitudes Icon_minitimeJeu 17 Mar 2016 - 19:26

Ce n’est pas votre brunch annuel du temps des sucres ou votre coco de Pâques qui vous tuent, mais plutôt votre assiette quotidienne. Selon le Dr Richard Béliveau, la première chose à sortir du panier d’alimentation: les boissons gazeuses.

«Une boisson gazeuse, c’est plus de 10 cuillerées à thé de sucre», avise Dr Richard Béliveau, qui partagera ses conseils-santé dans sa conférence «Prévenir le cancer, c’est possible!», au Vieux Clocher de Magog, le 23 mars.

Avec ses écrits traduits en 28 langues, la sommité mondiale en prévention du cancer, Dr Richard Béliveau, va droit au but: la majorité des cancers sont évitables par notre alimentation et mode de vie. Le tueur numéro un: le tabac.

Toutefois, il avise notre génération «poutine-burger» que le sucre caché est un ennemi à surveiller de près. «Il y en a même dans les chips sous forme de sirop de maïs ou fructose, précise le grand scientifique. Quant à agir comme l’actrice Angelina Jolie qui s’est fait retirer les seins et les ovaires à titre préventif, Dr Béliveau signale qu’il ne faut pas paniquer. «Mais on est face à un mur en santé avec la population vieillissante; il faut agir», insiste-t-il.

Pas compliqué et pas cher

C’est si simple de prévenir le cancer, conçoit Dr Béliveau. Diminuer la viande rouge et charcuterie en ajoutant davantage de poisson et légumineuses, en plus de consommer de 7 à 10 portions de végétaux par jour, ne coûte pas une fortune, selon lui. «Pas obligé de chercher des superaliments. Juste d’ajouter de l’ail, des oignons, du chou, des petits fruits, entre autres, précise-t-il. Ce sont des aliments que nous avons cessé de manger.»

Évidemment, pas étonnant que les cancers aient explosé dans notre monde occidental. Ailleurs, entre autres, plus de deux millions de Chinois boivent du thé vert et un milliard d’Indiens cuisinent avec du curcuma. Une boisson et une épice que Dr Béliveau incite à joindre à l’alimentation dans ses livres et conférences. «Je ne fais que m’appuyer sur des milliers d’études qui démontrent les bienfaits de ce que je parle», soutient-il.

Consommateurs de pilules

Le docteur en biochimie, dont un de ses livres est un best-seller en Allemagne, se montre prudent lorsqu’on le questionne sur le fait que de plus en plus de Québécois y dépensent des milliers de dollars pour aller s’y faire soigner.

«Étant scientifique, je ne peux donner mon opinion à ce sujet. Mais je peux vous dire que notre système de santé est en crise avec la population vieillissante et les maladies qui augmentent. La solution doit passer par la prévention», alerte-t-il. Il salue donc les publicités du ministère de la Santé contre le tabac et les programmes visant à faire bouger la population. «Ceux qui bougent au moins 30 minutes par jour ont moins de chance de développer des maladies», mentionne-t-il.

«Mais les gens veulent une solution miracle. On est des consommateurs de pilules!», reproche le chercheur. Il n’hésite pas à affirmer que si les gens s’appliquaient davantage à prévenir le cancer, il en résulterait des milliards de dollars disponibles pour s’offrir davantage de services, dont des soins de santé, y compris ceux offerts en Allemagne. «Il n’est jamais trop tard pour agir», conclut-il, soulignant que tout changement, même après un cancer, diminue les risques de récidive de maladies.
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MessageSujet: Re: Modifier les habitudes   Modifier les habitudes Icon_minitimeVen 11 Mar 2016 - 13:56

Une nouvelle étude affirme que les glucides pourraient provoquer le cancer du poumon. Faudrait-il donc en finir avec le pain, les flocons de maïs et le riz soufflé?

«Nous avons observé 49 % de risques de cancer du poumon en plus chez ceux qui avaient un régime riche en glucides», a fait remarquer le Dr. Stephanie Melkonian, responsable d'une l'étude sur le sujet, menée par l'université du Texas sur 1905 patients atteints d'un cancer du poumon.

La consommation élevée de glucides provoquerait une montée rapide des taux de glucose et d'insuline dans le sang. Ils stimulent notamment une hormone baptisée l'IGF-1, qui serait un facteur important dans la naissance d'un cancer du poumon. «Des recherches précédentes ont suggéré qu'un taux élevé d'IGF peut être associé à des risques élevés de cancer du poumon, ajoute le Dr. Melkonian. Cependant, l'association entre l'index glycémique et le risque de cancer n'était pas claire.»

Il est cependant important de noter que tous les glucides ne sont pas mauvais: la quantité consommée est bien plus dangereuse que la qualité. Tout n'est donc pas perdu et plutôt que tout arrêter, il suffirait de substituer certains aliments à risques par d'autres considérés comme plus sains.

Le pain complet et le pain de seigle, les flocons d'avoine et les pâtes au blé complet feront ainsi très bien l'affaire si vous cherchez à vous débarrasser de certaines mauvaises habitudes.
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MessageSujet: Re: Modifier les habitudes   Modifier les habitudes Icon_minitimeJeu 7 Mar 2013 - 8:21

Une étude à l'échelle européenne, menée par différents scientifiques de différentes nationalités, révèle que la charcuterie (jambon, bacon, saucisse, etc) augmente considérablement les risques de développer des cancers et des insuffisances cardiaques.

L'étude a été réalisée sur plus de 440 000 personnes, dans 10 pays européens, et a été publiée dans le magazine BMC Medecine. Dans le détail, il en ressort que les plus gros consommateurs de charcuterie (plus de 20 grammes par jour, soit une simple tranche de saucisson) sont à 44% plus susceptibles de mourir prématurément que les autres. Ces niveaux de consommation augmentent le risque de mourir d'une insuffisance cardiaque par 72% et de succomber du cancer par 11%.

Si tout le monde consommait moins de 20g de charcuterie par jour, 3% de morts prématurées pourraient être évitées, selon la professeure Sabine Rohrmann de l’université de Zurich.

Le docteur Carrie Ruxton, nutritionniste pour le Meat Advisory Panel et proche de l'industrie de la viande, a estimé que les résultats de l'étude n'étaient pas assez probants pour justifier un changement de message en termes de santé publique. Le fait que les gros consommateurs de charcuterie collectionnent par ailleurs d'autres habitudes ou addictions dangereuses ne permet pas d'associer le haut risque de mort prématurée à la simple consommation de charcuterie, analyse la spécialiste.
En savoir plus sur http://www.atlantico.fr/pepites/scientifiques-prouvent-que-consommateurs-charcuterie-ont-plus-chance-avoir-cancer-660753.html#hveuHczhGpMcj8fL.99
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MessageSujet: Re: Modifier les habitudes   Modifier les habitudes Icon_minitimeMar 25 Déc 2012 - 17:14

Je pratique pas mal tout ça en temps normal. Je viens de prendre mon thé vert d'ailleurs.

Le curcuma j'en ai tout le temps et associé au poivre généralement, j'en met dans les soupes, même parfois certaines vinaigrettes.

Bref merci pour ce rappel. ok
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MessageSujet: Re: Modifier les habitudes   Modifier les habitudes Icon_minitimeMar 25 Déc 2012 - 15:54

Les 10 recommandations anti cancer proposées par le FMRC

Pratiquer une activité physique de 30 minutes chaque jour
Eviter la surcharge pondérale et être aussi mince que possible en maintenant un IMC, (indice de masse corporelle), compris entre 21 et 23
Eviter les boissons sucrées
Limiter la consommation d’aliments à forte densité calorique, en particulier les produits à teneur élevée en sucre ajoutés, ou faibles en fibre, ou riches en matière grasses.
Augmenter la consommation de légumes, fruits, céréales complètes et légumes secs : en consommer au minimum 400 grammes par jour
Limiter la consommation de viandes rouges et grasses (bœuf, porc, agneau) à 500 grammes par semaine et éviter la charcuterie, les viandes fumées et salées.
Se limiter à une boisson alcoolisée par jour pour les femmes et à deux pour les hommes.
Limiter la consommation d’aliments salés et de produit contenant du sel ajouté, comme les ships et les cacaouettes par exemple.
Ne pas prendre de compléments alimentaires
Les mères devraient exclusivement allaiter pendant les six premiers mois

Quelques aliments anticancer parmi les plus importants

Le thé vert: diminue les risques de cancer colo rectal, cancer de la vessie et cancer de la prostate
Le soja: diminue les risques de cancer du sein
Les carottes : diminue les risques de cancer ORL
Le choux et les broccolis: diminution des risques de cancer du sein
L’ail: protège des cancers digestifs
Le Curcuma: épice diminuant les risques de cancer digestif et de la peau: la sauce au curcuma préparée avec de l’huile d’olive et du poivre noir( celui ci augmente l’activité du curcuma) peut s’utiliser dans de nombreuses préparations( légumes,viande..)
Plusieurs aliments anticancer dans la soupe au brocolis préparée avec des brocolis, du curcuma et de l’ail. »
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MessageSujet: Re: Modifier les habitudes   Modifier les habitudes Icon_minitimeLun 23 Jan 2012 - 14:49


CANCER du POUMON: Plus d’un patient diagnostiqué sur 3 continue à fumer


C’est la constatation de cette analyse de la Havard Medical school, qui dénonce le nombre important de patients atteints de cancer du poumon et colorectal qui continuent à fumer après avoir été diagnostiqués. Cette étude, publiée dans l’édition en ligne du 23 janvier de Cancer, une revue de l’American Cancer Society, sensibilise les patients atteints, ainsi que leurs médecins, à l’importance du renoncement au tabac.

Quand un patient reçoit un diagnostic de cancer, l'objectif principal est de traiter la maladie. Mais arrêter de fumer après un diagnostic de cancer est primordial dans la mesure où la poursuite du tabagisme modifie les réponses aux traitements, aggrave le risque de cancer ultérieur et de récidive, et peut impacter la durée de survie.

Le Pr. Elyse R. Park, du Massachusetts General Hospital et de la Harvard Medical School (Boston), a voulu savoir combien de patients cessaient bien de fumer au moment du diagnostic et quels étaient les patients fumeurs les plus susceptibles d’arrêter. L’équipe a déterminé les taux de tabagisme au moment du diagnostic et 5 mois après le diagnostic sur 5.338 patients atteints de cancer du poumon et de cancer colorectal.
- Au moment du diagnostic, 39% des patients atteints de cancer du poumon et 14% des patients atteints de cancer colorectal fumaient,
- 5 mois plus tard, 14% des patients atteints de cancer du poumon et 9% des patients atteints de cancer colorectal fumaient toujours.


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MessageSujet: Re: Modifier les habitudes   Modifier les habitudes Icon_minitimeDim 15 Jan 2012 - 13:52

Citation :
Nitrate mon grand.


Merci Maman Wink c'est ma mémoire qui me joue des tours.
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MessageSujet: Re: Modifier les habitudes   Modifier les habitudes Icon_minitimeDim 15 Jan 2012 - 13:37

Nitrate mon grand.

J'ai trouvé un endroit à St-Grégoire où ils font du jambon sans nitrate... pour les crises de jambon de mon chum moi je n'aime pas ça.
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MessageSujet: Re: Modifier les habitudes   Modifier les habitudes Icon_minitimeDim 15 Jan 2012 - 13:31

Je dis ça parce que dans l'article il disait risque accru de 30% chez les hommes et pas chez les femmes...


C'est toujours très flou ce genre d'annonces mais moi celle-là j'y crois parce qu'ils mettent des produits chimiques pour conserver les charcuteries très longtemps, je me rappelle plus du nom exact mais ça fini en "...ate". J'ai stoppé ça depuis longtemps les charcuteries et j'essaie de manger de plus petites portions viange rouge comme le boeuf et de ne pas le faire trop cuire avec une croute brulé même si c'est comme ça que c'est bon.

Ce qui marche bien avec moi ce sont les interdictions complète : les charcuteries et le sucre ( dont les colas...) je m'interdis ça mais à certains moments j'ai des rêves de gâteau et je m'en fait un au chocolat ou à la vanille et je le bouffe ordinairement dans la soirée et le lendemain je continue sur le café noir et les intedictions Wink .




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MessageSujet: Re: Modifier les habitudes   Modifier les habitudes Icon_minitimeDim 15 Jan 2012 - 13:19

Pour petit déj. il y a partout des menus végétariens maintenant, des omelettes aux légumes etc.etc.

Même de plus en plus de resto offrent des céréales, gruau (je n'en n'ai jamais mangé petite alors j'aime ça on ne m'a pas forcé la main pour ça)

Les viandes rouges bannies ici. Et le moins de viande possible d'ailleurs.


Tu dis "risque accru du cancer du pancréas" donc les femmes aussi doivent s'abstenir pas seulement les hommes. Je viens de perdre une amie du cancer du pancréas et elle mangeait sainement...c'est enrageant, aussi bien mettre toutes les chances de notre côté.

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MessageSujet: Re: Modifier les habitudes   Modifier les habitudes Icon_minitimeDim 15 Jan 2012 - 12:45

Les viandes rouges et, de façon plus importante, les charcuteries, telles que saucisse, bacon, jambon et autres viandes froides, sont liées à un risque accru de cancer du pancréas selon une étude suédoise publiée dans le British Journal of Cancer.

Susanna Larsson de l'Institut Karolinska de Stockholm et ses collègues ont réalisé une méta-analyse de 11 études totalisant plu de 2 millions de personnes dont plus de 6 600 atteintes d'un cancer pancréatique.

Une portion de 120 g par jour de viande rouge augmentait le risque de cancer du Modifier les habitudes 565294389 de 30% chez les hommes mais pas chez les femmes. Les viandes transformées étaient plus fortement associées à un risque accru chez les hommes et les femmes: pour chaque portion quotidienne de 50 g de ces viandes transformées (une saucisse ou 2 tranches de bacon), le risque est augmenté de 19%.


En résumé, si vous êtes un homme abstenez-vous de charcuterie totalement.
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MessageSujet: Re: Modifier les habitudes   Modifier les habitudes Icon_minitimeJeu 10 Nov 2011 - 19:09

Ici toutes ces diètes n'ont jamais fonctionné avec Denis qui est en sérieux surpoids sauf la diète que lui a donnée l'orthopédiste en l'enjoignant à maigrir.
Il a perdu 30 lbes à date.

Il nous a dit: déjeûner comme un roi, dîner comme un prince et souper comme un mendiant.
C'est la seule diète qui ne nous donne pas l'impression de nous priver, prendre un bon ptit déj. avec des oeufs bénédictines, un gros plat de fruits, des rôties bien beurrées et confiture on peut le faire...café crème et tout... ensuite comme on petit déj. tard, on ne dîne pas mais on soupetrès tôt ou on dîne très tard... et moins copieusement.

Les autres diètes sont trop restrictives. Denis ne peut pas tellement bouger et il a perdu 30 lbes quand même...on mange beaucoup de petits fruits, de légumes (crucifères etc.)

Les médicaments on se méfie trop de ça.

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MessageSujet: Re: Modifier les habitudes   Modifier les habitudes Icon_minitimeJeu 10 Nov 2011 - 17:56


C'est un médicament pour aider les personnes à maigrir mais le plus difficiile est de maintenir le poids perdu, j'avais fait un régime un temps mais c'st difficille de maintenir la volonté pendant toute l'année...et même s'ils disent que ça double les chances de mourir de mon cancer, je ne suis pas capable de maigrir durablement...

Wadih Arap et Renata Pasqualini de l'Université du Texas ont testé cette approche chez 10 singes. Le médicament a entraîné une perte de 11% de leur poids après 4 semaines de traitement. La plus grande partie de cette perte est survenue 3 semaines après l'arrêt du traitement.

Les singes, rapportent les chercheurs, continuaient à manger et ne semblaient pas souffrir de nausée ou d'inconfort. Mais ont commencé à manger moins, ce qui a été une surprise pour les chercheurs, car la perte de poids amène typiquement une augmentation de l'appétit.

La libération rapide de cellules de graisse dans le flux sanguin ne semblait pas causer des niveaux dangereux circulant dans l'organisme où ils pourraient causer l'inflammation des vaisseaux sanguins, perturber le métabolisme et entraîner une augmentation de l'appétit. Ces cellules semblaient plutôt brûlées comme source d'énergie.

Une hypothèse formulée par Randy Seeley de l'Université de Cincinnati est que les cellules restantes des dépôts de graisse envoient aux centres de l'appétit du cerveau des messages selon lesquels elles fonctionnent à pleine capacité et ne peuvent emmagasiner davantage, ce qui entraînerait la baisse d'appétit.

Yihai Cao de l'Institut Karolinska en Suède souligne qu'il faudra démontrer clairement que l'adipotide n'attaque que les vaisseaux alimentant les cellules adipeuses et préciser les mécanismes qui affectent l'appétit et les améliorations métaboliques.

Quant aux effets secondaires, le médicament semblait causer une déshydratation, une baisse des niveaux de phosphores et de potassium et de petites lésions su rein chez certains. Ces effets disparaissaient après l'utilisation, indiquent les chercheurs, mais ils sont préoccupants car ces derniers souhaitent obtenir l'autorisation de la Food and Drug Administration (FDA) américaine pour débuter des essais chez l'humain dans les prochains mois.

Ils envisagent de tester le médicament chez des hommes obèses atteints de cancer de la prostate. Ces derniers sont deux fois plus susceptibles que ceux de poids normal de mourir de la maladie. Ces hommes présentent un risque assez élevé, faut-il croire ... car le médicament semble présenter bien des inconnues.

Selon Chris Anzalone, directeur d'Arrowhead Research Corp, la firme développant le médicament en partenariat avec les chercheurs, ce médicament sera probablement destiné à une utilisation à court terme, laissant aux utilisateurs la tâche difficile de maintenir la perte de poids.
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MessageSujet: Re: Modifier les habitudes   Modifier les habitudes Icon_minitimeVen 4 Fév 2011 - 15:07

Cancer et surpoids: les pays en développement aussi
De Maria Cheng Et Mike Stobbe -- (CP) – il y a 1 heure

ATLANTA — Les cancers liés au surpoids, généralement associés aux pays riches, deviennent de plus en plus fréquents dans les pays en voie de développement, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), qui souligne par ailleurs que le pourcentage d'obèses a doublé ces trente dernières années, partout dans le monde.

"Malheureusement, les changements du mode de vie, notamment la diminution de l'exercice physique, rendent les gens plus fragiles et plus enclins à développer des maladies telles que le cancer", a déclaré vendredi le Dr Eduardo Cazap, président de Union for International Cancer Control, dans un communiqué publié par l'OMS à l'occasion de la journée mondiale contre le cancer.

Depuis des décennies, les autorités sanitaires se soucient de l'impact du tabagisme sur les décès par cancer du poumon dans les pays en développement. Mais aujourd'hui, selon elles, il devient de plus en plus urgent que ces pays prennent des mesures contre les excès de l'alimentation et les mauvaises habitudes en terme de santé, comme la sédentarité.

Alors que le cancer du col de l'utérus, favorisé par un virus sexuellement transmissible, était en tête des causes de décès par cancer, c'est aujourd'hui le cancer du sein qui prend la première place dans des endroits comme Bombay, en Inde, ou Sétif, en Algérie, selon des chercheurs de la société américaine du cancer.

C'est pourquoi l'OMS recommande de pratiquer au moins 2h30 d'exercice physique hebdomadaires, même modéré, pour en diminuer le risque, tout comme le risque de cancer du côlon, ces deux cancers étant en partie liés au surpoids.

Trois études publiées vendredi dans la revue médicale "The Lancet" soulignent par ailleurs si que les pays les plus riches arrivent mieux à contrôler le cholestérol et la tension artérielle, presque partout, le surpoids progresse. Seuls quelques rares endroits l'Afrique centrale et l'Asie du Sud, sont épargnés.

"Etre obèse n'est plus un problème spécifique des pays occidentaux", remarque Majid Ezzati, professeur de santé publique, de l'Imperial College, Londres, auteur d'une des études.

En 1980, environ 5% des hommes et 8% des femmes dans le monde étaient obèses. En 2008, les taux atteignaient près de 10% pour les hommes et 14% pour les femmes, selon l'une des études. Cela signifie que 205 millions d'hommes et 297 millions de femmes sont obèses et que 1,5 milliard d'autres adultes seraient en surpoids dans le monde.

Et pour les experts, cette augmentation du nombre d'obèses pourrait, outre l'augmentation du nombre de cancers et de diabètes, conduire à un "tsunami" de maladies cardio-vasculaires. Environ trois millions de personnes meurent des suites de leur obésité chaque année.

Selon lui, des mesures générales, notamment la diminution de la quantité de sel des plats cuisinés ou l'interdiction d'acides gras trans pourraient aider à diminuer la pression artérielle et le niveau de cholestérol. AP

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MessageSujet: Re: Modifier les habitudes   Modifier les habitudes Icon_minitimeLun 26 Avr 2010 - 14:44

De nombreuses études ont montré qu'à l'exception du cancer du poumon, uniformément répandu à cause du tabagisme, les principaux cancers qui affectent les habitants des pays occidentaux (sein, prostate et côlon) sont beaucoup moins fréquents dans les pays du continent asiatique.

À titre d'exemple, un Indien ou un Thaïlandais a environ 25 fois moins de risque d'être atteint d'un cancer de la prostate ou du côlon qu'une personne vivant en Occident, alors que le risque de développer un cancer du sein est de 10 à 25 fois moins élevé pour une habitante de Bangkok ou de Tokyo que pour une Montréalaise. Ces différences énormes ne sont pas causées par un quelconque avantage génétique, car les Asiatiques qui émigrent en Occident voient leur risque de contracter ces cancers devenir similaire à celui encouru par les habitants de leur pays d'accueil. Le mode de vie exerce vraiment une influence déterminante sur le risque de développer certains types de cancers.

VÉGÉTAUX ANTICANCÉREUX

Cette importance du mode de vie a été confirmée de façon éclatante en 1981 lorsque Richard Doll et Richard Peto ont montré que de 75% à 80% de tous les cancers diagnostiqués aux États-Unis en 1970 auraient pu être prévenus par la simple modification de certains paramètres du mode de vie, en particulier le tabagisme et la nature de l'alimentation (1).

Un des principaux défis de la recherche a été d'identifier les aliments dotés des plus fortes activités anticancéreuses et, grâce aux multiples efforts déployés depuis ce temps, un lien direct entre la consommation régulière de certains végétaux et la réduction du risque de développer certains types de cancer a pu être établi. Les données dont on dispose actuellement indiquent que ce potentiel anticancéreux n'est pas uniformément réparti parmi les végétaux et que seulement certains d'entre eux, notamment les légumes crucifères (choux, brocoli, chou-fleur, etc.), le thé vert, les aliments riches en caroténoïdes comme la tomate et la carotte, exercent véritablement une action préventive, avec une réduction du risque de certains cancers qui varie entre 25% et 75%.

Au risque de se répéter, c'est pour cette raison que les études qui examinent l'impact de la consommation totale de fruits et de légumes sur l'incidence globale de cancer ne parviennent pas à mettre en évidence un effet protecteur contre cette maladie: les végétaux anticancéreux ne représentent qu'une fraction des fruits et légumes consommés, et leur impact positif sur le risque de certains cancers est masqué par la prédominance de végétaux ne possédant pas de telles propriétés.

Même si une personne consomme cinq portions quotidiennes de fruits et légumes, cette bonne habitude n'aura pas d'impact majeur sur le risque de cancer si les végétaux consommés sont dénués de propriétés protectrices. Par exemple, si un minimum de trois portions de crucifères par semaine est nécessaire pour entraîner une réduction du risque de cancer de la prostate, la consommation de trois portions d'autres végétaux non protecteurs, tels que les pommes de terre, la laitue ou les bananes, n'aura quant à elle aucun impact sur ce risque. Il est donc possible de manger la même quantité de végétaux tout en produisant des effets protecteurs totalement différents. En d'autres termes, la prévention du cancer par l'alimentation ne signifie pas seulement qu'il faut régulièrement manger des fruits et légumes, mais, surtout, qu'on doit manger en abondance certains de ces végétaux, ceux qui contiennent les plus grandes quantités de molécules anticancéreuses.
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MessageSujet: Re: Modifier les habitudes   Modifier les habitudes Icon_minitimeMar 20 Avr 2010 - 19:17

Selon des chercheurs américains, les viandes trop cuites augmentent considérablement les risques de développer le cancer de la vessie.

À la suite d'une étude menée pendant 12 ans auprès de 1 700 personnes, des chercheurs de l’Université du Texas affirment que la viande calcinée contient des substances chimiques cancérigènes appelées des aminés hétérocycliques.

Les personnes qui consomment les viandes trop cuites ont deux fois et demie plus de risques d’avoir un cancer de la vessie que les amateurs de viandes saignantes. Ce risque est surtout présent pour les steaks de bœuf et de porc, mais également pour le poulet et le poisson frit.

De plus, les chercheurs rappellent que la présence de certains gènes peut augmenter de cinq fois le risque de personnes qui consomment beaucoup de viandes rouges. Ces personnes sont génétiquement plus exposées à un risque de cancer de la vessie.

On estime que 7 000 nouveaux cas de ce type de cancer seront diagnostiqués cette année et 1 850 de ces personnes perdront leur combat.
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MessageSujet: Re: Modifier les habitudes   Modifier les habitudes Icon_minitimeLun 12 Jan 2009 - 3:50

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MessageSujet: Modifier les habitudes   Modifier les habitudes Icon_minitimeLun 18 Juin 2007 - 18:50

L'influence de l'alimentation


Le cancer du côlon demeure encore aujourd'hui extrêmement difficile à traiter et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Amérique du Nord. Puisque la fréquence de ce cancer est due en grande partie au mode d'alimentation occidental, les chercheurs ont examiné si ce facteur pouvait également influer sur la survie des patients atteints par la maladie et qui ont subi une opération suivie d'une chimiothérapie.


À l'aide d'un questionnaire visant à étudier les habitudes alimentaires des patients au cours des six mois suivant la chimiothérapie, les chercheurs de l'institut Dana-Farber de Boston1 ont défini deux grandes classes de régimes alimentaires: un type «occidental», caractérisé par une forte consommation de viandes rouges, de gras, de farines raffinées et de desserts, et un autre, qu'ils ont qualifié de «prudent» parce qu'il contient une plus grande quantité de fruits et de légumes ainsi que des volailles et du poisson pour remplacer les viandes rouges.


En examinant les données recueillies auprès des 1 009 patients de l'étude, les chercheurs ont observé que les personnes qui consommaient le plus d'aliments typiques du régime occidental, comme les viandes et les desserts, couraient un risque beaucoup plus élevé de récidive du cancer.


L'augmentation est d'une ampleur tout à fait spectaculaire: les adeptes du régime occidental avaient presque 4 fois plus de risque de voir le cancer refaire surface et entraîner leur décès que celles qui adoptaient une alimentation prudente, plus riche en fruits et légumes et pauvre en viandes rouges.


Ces différences de risques sont d'autant plus intéressantes qu'elles se produisent sur une courte période de temps (moins d'une année), suggérant que la nature des aliments peut grandement influer sur la croissance des tumeurs microscopiques qui ont réussi à échapper à la chirurgie et à la chimiothérapie.


Modifier les habitudes


Pour les personnes touchées par le cancer, la priorité est évidemment de suivre à la lettre les recommandations de leur oncologue sur les traitements les plus aptes à combattre la maladie. À la suite de ces traitements, il n'y a aucun doute que la composition du régime alimentaire joue un rôle déterminant sur les chances de survivre au cancer.


Loin de se restreindre à adopter une alimentation «prudente», il est possible d'êtrebeaucoupplusactif face à la maladie et de maximiser les chances de guérison en modifiant en profondeur les habitudes de vie.


Au moins 5 grands changements peuvent contribuer à améliorer l'espérance de vie des survivants du cancer:



Manger de 5 à 10 portions de fruits et de légumes, en particulier ceux qui contiennent des quantités importantes de molécules anticancéreuses (famille des choux et de l'ail, petits fruits, thé vert, curcuma, vin rouge, algues, champignons, probiotiques, etc.). Ces aliments peuvent jouer un rôle crucial dans la prévention secondaire en empêchant la croissance des tumeurs résiduelles qui ont survécu aux traitements.


Diminuer la consommation de viandes rouges au profit des volailles et du poisson, de façon à réduire l'apport en gras saturés.


Augmenter l'apport en gras oméga-3 en consommant régulièrement des poissons gras et des graines de lin fraîchement moulues de façon à créer un environnement anti-inflammatoire qui restreint la progression du cancer.


Maintenir un poids santé. Les études indiquent que dans le cas de certains cancers, notamment ceux du sein et de la prostate, les personnes souffrant d'embonpoint ou d'obésité ont un taux de guérison plus faible que les personnes minces.


Faire de l'exercice. L'activité physique régulière a des effets bénéfiques sur la santé en général, sans compter son influence positive sur la fatigue, l'anxiété et la dépression, des états qui touchent souvent les survivants du cancer. De plus, des études récentes ont montré que l'exercice réduit significativement la mortalité de femmes auxquelles on a diagnostiqué un cancer du sein.
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